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Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 00:21
- Voir les 1 commentaires - Publié dans : DELIRE D'ECRITS...

Strasbourg est une grande ville, une capitale Européenne même et comme tout grand centre urbain présente l'anonymat espéré par les adeptes du sexe libre.

Luc est un de ceux-là !

Il est avocat dans un des plus importants cabinets de la région. Son métier est dur, pénible et terriblement accaparant qui ne laisse nulle place à l'erreur ni à l'à-peu-près. Ses journées sont harassantes et sa tête trop souvent dans les problèmes des autres…

Cependant c'est un homme de chair et d'émotions comme vous et moi, qui a besoin de s'évader, fantasmer, s'amuser… se détendre… jouir de la vie…

Pour annihiler le stress qui s'accumule chaque jour, il aime à penser et organiser ses petites séances privées auxquelles il s'adonne en compagnie de sa femme… qui lui est une complice fidèle.

Une fois par semaine ils prennent leur belle voiture allemande et peaufinent ensemble, en chemin, au restaurant, le plan qu'ils ont maintes fois réalisé et qu'à chaque fois ils essaient d'ajouter de nouveaux détails, d'anticiper la soirée libertine.

Ce soir ils se sentent en forme et ont dans l'esprit ce désir commun de traverser des moments d'intense complicité.

Lui n'a pas la même approche du jeu que sa femme mais il sait qu'elle aime s'y adonner, tant pour lui être agréable que pour les sensations qu'elle éprouve à satisfaire les fantasmes de son mari qu'elle aime et admire.

Auparavant, et comme à chaque début de séance, Luc a demandé à sa femme de se vêtir devant lui, lentement, des tenues qu'il a achetées le jour même, dans un magasin huppé de lingerie fine, soieries si féminines, si affriolantes, si sexy qu'elle honore à ravir.

Le noir accentue le grain de sa peau, la dentelle souligne la finesse de son corps.

Il aime la regarder s'envelopper dans ces vêtements de luxe et lire dans les yeux de  Sophie son bonheur de l'exciter. Il lui fera encore l'amour mais alors dans son esprit de l'instant comme pour marquer un territoire qui lui appartiendra à jamais, la baiser avant… AVANT !

 

La seule requête que lui avait imposée Sophie était la sélection des hommes pour les soirées. Elle tenait à ce détail craignant devoir rencontrer et subir des mâles trop marqués qui correspondaient pourtant (elle le savait) aux goûts de Luc. Libre de ses envies elle se sentait rassurée.

La séance commençait en discothèque, une de celles dont la clientèle n'est pas trop jeune et dont la qualité est bourgeoise. Les discussions y sont intéressantes et le sortilège agit vite entre personnes de qualité. Elle exerce son charme de façon discrète mais réelle et a tout loisir de sélectionner son candidat.

Ce soir ce sera cet homme grand et mince, Charles, géologue quadragénaire, cultivé aux gestes et paroles raffinés. Luc semble satisfait de son choix. Elle connaît sa façon d'être si l'individu ne lui plaît pas…

Dans la sympathie mutuelle qui s'était évidemment instaurée, le couple invite l'homme seul à boire un dernier verre chez eux.

 

Là, installés dans un petit salon douillet, la conversation se fait plus intime. On décide de se tutoyer.

Luc a dévisagé l'ami d'un soir. Il semble bien fait. Assis, son entre-jambes au travers d'un jean laisse deviner un homme noblement doté. Lui qui se sait avantagé, s'amuse toujours à subtilement juger ces endroits. Sophie l'a comme beaucoup souvent félicité de par ses soupirs et ses orgasmes. A chaque fois c'est comme un challenge pour lui dont il ressort vainqueur et personnellement honoré

 

Le stratagème personnel commence…

 

Luc qui s'est dit chirurgien reçoit un appel sur son portable. Désolé la clinique l'appelle pour une urgence. Il se déclare navré de devoir les quitter mais… insiste vis-à-vis de  l'homme qui s'est déjà levé pour qu'il reste en compagnie de son épouse puisqu'ils sont de bonne compagnie. Sophie regrette le départ de Luc et déplore encore une soirée à rester seule…

Luc surenchérit et Charles accepte mais pour quelques temps seulement. Luc adore la sensation de malaise qui s'en est installée et la gêne de l'homme accentue l'aura perverse que seuls les deux époux comprennent.

 

Luc s'en va. Sophie ressert un verre à Charles. Un silence s'interpose. A elle de jouer !

 

Luc a rejoint la salle mitoyenne au salon. Il pose sur sa tête le casque qui le relie aux micros invisibles installés dans la pièce à côté. Il entendra ainsi les moindres sons et profitera pleinement de son travers de voyeur.

Au sonore il a perfectionné le visuel grâce à un grand miroir sans tain scellé au mur au dessus de la cheminée, face au canapé de cuir confortable et large.

C'est absolument parfait !

Il a tout loisir d'observer et même de temps à autre de photographier ou enregistrer en vidéo les scènes les plus torrides pour les revivre avec Sophie plus tard dans la gêne qu'elle ressentira alors !!

Il aime voir sa femme se faire baiser devant lui. Il les observe et ressent cet indicible martyr qui lui fait du mal et lui plaît tant à la fois. C'est tellement plus fort qu'un banal film porno dont les actes sont si stéréotypés et orchestrés. Là c'est du live, du direct, du personnalisé !

Il scrute les réactions de Sophie et la voit être possédée par un autre dans une façon qui est toujours identique mais qui n'est jamais vraiment la même…

Les corps des hommes sont à chaque fois différents et leurs instincts de baise si divers. Forts, poilus, musclés, fins ou autres la surprise est toujours au rendez-vous. Violents, délicats, virils ou timides les hommes sont complexes dans leurs ébats.

Partager avec sa femme ces moments d'intimité au travers du miroir corrompu, la voir être soumise l'excite pleinement. Bien sûr il déteste voir le sexe durci des hommes pénétrer sauvagement et illégalement sa femme le torture mais il sait qu'il en sera toujours le maître et le seul qui compte pour elle. Il regarde le sexe de chaque homme qui passe et, s'il sait qu'il se conduit comme un adolescent attardé, au fond de lui, se savoir supérieur efface l'injure désirée.

Souvent elle se masturbe pendant leurs coups de buttoirs. Elle le fait en regardant fixement la glace comme pour signifier à Luc son pouvoir sur l'autre. Ca le rend fou d'extase et il se branle fermement tout en répondant mentalement à sa femme.

 

Charles reste muet quelques instants ou ne profère que des mots sans grand intérêt. Il est sans doute troublé par les gestes féminins que Sophie s'évertue à déployer. Le corsage échancré de sa robe abreuve les yeux de l'homme. Les formes de la belle femme sont si savamment vantées pour lui seul qu'il en est perturbé.

Sophie le sent et ouvre la brèche. Elle s'approche de lui. Il se lève et passe derrière le canapé. Étonnée elle le conjure de la rejoindre et lui avoue son désir pour lui. Déjà excité Charles bredouille l'absence de Luc que Sophie balaie d'un ordre à se déshabiller.

N'y tenant plus, Charles enlève sa veste et déboutonne sa chemise. Elle le regarde se touchant les seins et l'implore d'en faire plus. Il dégrafe son ceinturon puis son pantalon et abaisse le tout laissant jaillir un sexe d'une taille impressionnante.

Le silence de plomb que laissa tomber Sophie et le regard fixe qu'elle posa sur l'engin inquiéta fortement Luc.

Le mec en avait une bien plus imposante que la sienne.

Il n'avait pas prévu cela…

 

Les quelques secondes intenses que venait de vivre Sophie, son mutisme et sa pause plongèrent Luc dans l'émotion de l'inconnu. Qu'allait-elle faire à présent ?

 

La femme s'empara du sexe déjà bien tendu et toujours conforme à sa taille pour le branler. Ses doigts entouraient le membre avec cette ouverture que prodiguent les bons diamètres. Le gland violacé et luisant de mouille apparaissait et disparaissait sous les secousses manuelles. Elle s'approcha assez vite et enfourna le tout dans la bouche. A ce moment rituel, à chaque soirée, Sophie se tournait vers le miroir pour exciter plus encore son mari. Elle sait qu'il aime se faire pomper goulûment et ainsi elle transposait la pipe sur lui. Là il n'en était rien, comme si la convoitise de sucer un tel sexe lui avait fait oublier le cadeau… Elle tentait d'avaler mais sa bouche même ne pouvait contenir l'intégralité. Luc était perplexe. La main de Charles sur la tête de Sophie tentait de lui faire ingérer mais n'osait imposer la chose trop vertement. Les saccades de Sophie trahissaient le désir et l'envie. Son plaisir à tailler ce diamant était plus qu'évident. Le visage de la femme resplendissait de bien être, les yeux fermés, léchant, dévorant et longeant cette queue déployée…

Charles lui retire le membre et la couche sur le canapé. La délicatesse de ses gestes continua d'exaspérer Luc, sachant sa femme sensible à cela.

Décidément cet homme avait tout pour lui déplaire à présent, lui musclé et trop bien monté. Pour la première fois il se sent jaloux. Il enrage de ne pouvoir stopper la scène et cependant jubile de tout cela.

A présent l'homme est sur le corps de sa femme… Il les regarde faire, impuissant, car intervenir le couvrirait de ridicule.

Il la prend avec mesure et efficacité.

Connaissant la valeur et la taille hors du commun de sa bite, Charles empoigne son membre pour l'introduire le plus délicatement possible. Il entre doucement et Luc entend à son grand désespoir le râle doux de sa femme… Elle a fermé les yeux et entrouvert sa bouche encore chaude de ses va-et-vient d'il y a quelques instants…Une fois pénétré, Charles accélère la manœuvre et possède de plus en plus profondément le ventre de Sophie. Celle-ci retient ses râles puis se libère dans des gémissements qui excitent désormais terriblement Luc.

Il s'est déshabillé totalement, a délivré sa belle queue raidie d'excitation intense et se branle lamentablement mais ardemment, sauvagement derrière ce miroir qui l'empêche de s'imposer.

 

L'homme la baise bien. Tellement différemment pour elle malgré le manque d'originalité. Tellement mieux, tellement plus fortement grâce à son atout. A cela il sait apporter une certaine tendresse dans les mots ou ses silences… Il évite d'apposer sa masse musculaire sur un corps déjà traumatisé.

Bien vite Sophie se met à hurler. Les yeux toujours clos par le plaisir, elle exprime sa jouissance. Luc reconnaît les orgasmes de sa femme et sait que LA ils ne sont pas feints. Souvent elle faisait croire à ses partenaires qu'ils lui avaient apporté l'extase mais il savait traduire la comédie !! Là il est déstabilisé ! Elle ne simule en rien.

C'est alors que l'impensable arriva. Sophie demanda à Charles de l'enculer. Luc n'en croyait pas ses oreilles… Le ton avec lequel elle avait fait la proposition ne lui laissait aucun doute sur son plaisir…

Charles laissa Sophie se retourner puis la prépara quelques longues minutes avec un talent d'expert sous les preuves manifestes d'un caprice féminin… par les doigts, la langue et quelques gouttes de salive lubrifiantes…

Pris il la prit.

D'abord sobrement, toujours en délicatesse, puis plus fermement, plus intensément… La femme se pinçait les lèvres et renversait la tête à chaque mouvement de pilon. Luc ne pouvait décrocher son regard de ce qu'il voyait. Le gros membre défonçait littéralement les fesses de sa douce qui grognait sous le supplice. Lui n'en pouvait plus de s'astiquer et sentait la pression monter. Il ne voulait pas… PAS ENCORE…

Il appelait Sophie par la pensée mais elle l'avait oublié ou tout comme ! Rien d'étonnant à cela… Elle n'osait sans doute plus le regarder !!

Les coups allaient bon train…

Puis Charles se retira.

Elle se retourna encore et il se remit en elle en lui tenant une jambe. Luc admirait la scène et profitait du spectacle avec délice…elle se tenait à l'accoudoir tant l'homme était vaillant… Luc admirait la beauté des corps…

Charles de son côté avait perdu la bienséance bourgeoise et manifestait l'envie de jouir… Sophie accepta… Il retira sa queue luisante et se branla sur le corps alangui de Sophie qui le regardait et l'encourageait… De longs jets de sperme atterrirent sur le ventre et les seins que la jeune femme étala avec délectation avant d'en lécher les restes goulument…

 

A son tour Luc explosa en foutre dans sa main tout en savourant le plaisir qu'eux trois avaient ressenti mutuellement mais… séparément.
Lui qui se croyait le plus fort, il avait trouvé son rival, son adversaire…oppresseur mental !

Par CENTAURE - Ecrire un commentaire
Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 02:39
- Voir les 1 commentaires - Publié dans : AH ! MUSES ! ET VOUS ?
Je vous laisse à lire un courrier (texte intégral) que j'ai reçu aujourd'hui de Daniel, un ami très fidèle que j'affectionne particulièrement (voir coup de coeur )
Cet homme est hors du commun ! Vous en jugerez une partie de sa personnalité à travers son récit.
Bien sûr je publie avec son accord express de même que sa photo.
Je ne saurais que vous conseiller d'aller visiter son book dont l'adresse est jointe en bas de texte !
Bonne lecture !


Salut mon Centaure,
Me promener sur ton blog est toujours source de plaisir. J'ai adoré l'histoire du petit Belge de Mons. Je pense qu'il existe mais que son dépucelage n'a pas (encore ?) eu lieu ... En tout cas, je suis persuadé qu'il y a des éléments vrais là-dedans. C'est bien écrit, c'est excitant, ça donne le gourdin, c'est génial !
En revanche, je sais pas pourquoi mais tes vidéos sont difficiles à mater. Elles s'arrêtent toutes les quatre secondes et reprennent quand elles veulent, ça coup un peu la chique, si tu vois ce que je veux dire
J'aimerais bien voir "Les bienfaits de la solitude"... Tout ça pour te dire que même lorsque tu es seul, tu ne l'es jamais vraiment puisqu'il y a des mecs vicieux comme moi qui te matent avec délectation.

Tu sais, j'ai trouvé près de chez moi une aire de drague dans la forêt de Meudon. C'est assez sympa, pas trop fréquenté, juste ce qu'il faut souvent par des hétéros ou des bis qui rentrent du bureau ou qui font la pause déjeuner. Parfois aussi par des routiers qui font une halte pour dégorger avec des pédés. Hier, j'ai vachement pensé à toi car je me suis fait défoncer par un livreur très viril, costaud, musclé, poilu assez hard dans sa façon de procéder. J'ai commencé par lui tailler une pipe, mon exercice préféré et celui dans lequel j'excelle (sans prétention, tous ceux que je pompe affirment que ma bouche est aussi douce et profonde qu'une chatte ! Une telle unanimité me laisse croire que... c'est vrai !)
On s'est complètement desapés, accrochant nos fringues dans les branches du bosquet dans lequel on a avait trouvé un petit hâvre de paix. il a gardé à la même un préservatif qui ne m'a laissé aucune illusion sur ses intentions. Les proportions de sa teub uncut étaient, au déballage, de dimensions tout à fait honorables mais ne laissaient en rien présager de ce qu'elle allait donner, une fois déroulée. Je m'en suis vite rendu compte sous les coups de langue habiles et sensuels que je lui prodiguais. Par moment il me forçait à prendre son mandrin bien au fond de la gorge en maintenant fermement ma tête contre son bas-ventre. J'étais ainsi contraint de prendre à pleine narines l'odeur de son pubis sur laquelle planait une macération de quelques gouttes de pisse, de liquide séminal et de sueur, le tout exacerbé sous l'effet de la chaleur des embouteillages. Je calais donc son gland sous mon palais et biberonnais avec gourmandise cette friandise qui semblait ne pas vouloir cesser de grossir ni de grandir. Quand il eut décidé qu'il était prêt, je ne pus m'empêcher de regretter de l'avoir ainsi chauffé à blanc. Sa bite était vraiment énorme et je me suis dit que mon petit cul qui en a déjà vu de toutes tailles et de toutes grandeurs n'allait pas, cette fois, supporter les proportions hors normes qu'il était en train d'envelopper d'une capuchon de latex taille XL.
Effectivement, je compris rapidement que j'aurais dû me contenter de le pomper consciencieusement et de le mener ainsi à la jouissance sans lui laisser le temps de prendre d'autres initiatives. A peine avais-je eu le temps de me badigeonner le fion avec du gel que je le sentis raide et prêt à fourrer. Son introduction fut franche, directe et sans préliminaires. Cette prise de contact m'arracha un cri que je ne pus réprimer. Il m'arrive parfois d'être bavard pendant qu'on me baise, je trouve cela stimulant pour les deux parties. J'ai vite laissé de côté cette option. Lui ne paraissant pas sensible à d'éventuels babillages, moi trop occupé à réprimer mes cris de souffrance qui n'étaient pas encore de la jouissance.
D'emblée, il poursuivit son introspection avec fermeté, insensible aux cris qu'il m'arrachait. J'étais partagé entre le désir de lui demander de se retirer et curieux de constater si ma souffrance allait se transformer en plaisir. Aussi surprenant que cela puisse paraître, sa queue semblait grossir et se durcir un peu plus. Il était parvenu, par la force, à se frayer son chemin jusqu'à la garde. C'est alors qu'il commença à me bourrer avec une ardeur et une violence peu commune. Ses vigoureux coups de boutoir me tiraient des soupirs rauques de protestation. Je m'emparais de ses couilles pour constater qu'il était bien à fond et qu'il ne pouvait aller plus loin. A fond, il l'était, mais je sentais sa tige se retirer jusqu'au gland pour mieux m'enfiler à chaque coup de reins. Je m'accrochais au tronc de l'arbre qui me faisait face pour qu'il ne déculle pas. Aucun risque en réalité. J'étais collé à son pieu comme une chienne. Chaque fois qu'il semblait ralentir, c'était pour mieux me défoncer.
Tout en continuant à me besogner sans faiblir dans son ardeur, il me saisit les couilles sur lesquelles il se mit à tirer comme on le fait du pi de la vache. Il lui vint soudain l'idée de  m'assener de violentes claques sur les fesses. Cela faisait vraiment mal, ce qui avait pour effet de le rendre encore plus raide et violent dans ses assauts. Soudain, il se mit enfin à ralentir. Je me sentis en communion avec sa queue. Je compris qu'il me laissait, pour un temps qu'il serait seul apte à décider, toute latitude dans les mouvements que je souhaitais adopter pour poursuivre ce singulier accouplement. Profitant de cet instant de répit, je me mis à aller et venir de façon à lui donner l'impression de m'empaler sur son pieu volumineux. Mon consentement allait-il être un facteur de circonstances atténuantes. En devenant le maître de la situation, j'allais peut-être enfin trouver le plaisir qui tardait à venir cédant le pas à la douleur. Mais cet instant de répit fut en réalité de courte durée : jugeant que cet empalement était un supplice bien trop doux pour le cul qui s'était imprudemment offert à son vit, il décida de reprendre ses douloureux coups de boutoirs. Un jeune type qui était arrivé sur le parking en même temps que nous choisit cet instant pour nous débusquer dans cette cachette que nous pensions inviolable. Sans nous demander notre avis, il fit tomber son short et son calebute à mi-cuisses. Mon homme des bois le branla tout en poursuivant son ouvrage. Puis, il le guida vers ma bouche et sans un mot me fit comprendre qu'il me fallait désormais me concentrer sur la bite de l'intrus tout en continuant à supporter sa brutale sodomie. Bien stimulé par les va-et-viens de ma bouche orchestrés par ceux de mon dominateur, le jeune type, déjà bien excité, ne tarda pas à gicler sur mon visage. Je m'aperçus alors qu'il avait une très belle queue uncut et que sa forêt de poils pubiens aurait été un beau terrain à explorer. Une autre fois peut-être... Il disparut rapidement.
Mon enculeur me besognait ainsi depuis un bon quart d'heure. Cette intrusion ne l'avait pas déconcentré et semblait n'avoir attisé que la brutalité et le fermeté de ses assauts. Finalement, il décida que mon supplice avait assez duré. Il décula, sans grande précaution, retira d'un geste la capote et s'engouffra de nouveau dans ma bouche. Sa queue n'avait plus le même goût. Le latex avait pris le pas sur toutes les odeurs qui m'avaient enivré tout à l'heure. Je n'avais pourtant d'autre choix que de donner ce qu'il réclamait. Je le fis avec une ardeur que ma liberté retrouvée décupla. Il se branla dans ma bouche histoire de m'indiquer le rythme de croisière qui était le sien. Je prenais garde de jamais utiliser mes mains et de lui donner tout le plaisir auquel il aspirait avec ma seule langue. Je le sentis bien tôt près de l'extase. Il se retira de l'emprise de mes lèvres pour gicler abondamment sur le sperme du jeune garçon qui l'avait précédé. Mon visage inondé de foutre semblait ne jamais tarir la source de son geyser qui coulait maintenant sur mes épaules et mon torse nus.

Ce mec viril et brut, il me plait de croire que ç'aurait pu être toi. Oui Centaure, c'est en pensant à toi que j'ai vécu cette scène et que j'ai pu la supporter.
Je t'embrasse mon Centaure, tu es, pour moi, toujours le plus chaud et le plus beau  !
Dan
www.flasherdan.jepose.org
 
ps : je te joins une tof un peu dans l'esprit de celle que tu avais mise il y a quelques mois en photo d'accueil.
Par CENTAURE - Ecrire un commentaire
Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 01:17
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N° 2 DE MA SERIE ROSE !

Par CENTAURE - Ecrire un commentaire
Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 01:10
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Sabine est de ces jeunes femmes que l'on voit mais que l'on ne regarde pas ou trop peu. Noyée dans l'absurdité de notre société, elle est comme transparente, comme une affiche de publicité à côté de laquelle on passe…

Sabine est caissière de supermarché…

 

Ceux qu'elle voit passer à chaque instant près d'elle ne sont pas d'humeur à profiter de ses avantages… et elle s'en fiche le plus souvent…

Elle travaille !

Et pourtant Dieu sait si elle est joliment faite…

Qu'importe… Elle, elle le sait !!

 

Elle sait ses formes généreuses, la sculpture de son corps… elle sait la pureté de ses lignes et la finesse de sa peau !

Elle le voit bien le matin, ce galbe de ses hanches, la fermeté de ses seins reflétés après sa douche dans son miroir qui ne lui ment pas ! Tant de beautés enfouies sous cet uniforme que lui impose son imbécile de patron tout au long de sa journée ! Elle est obligée de se masquer sous un tablier impersonnel au possible, aux couleurs criardes… "Mais il faut rester invisible et discrète" a dit ce gros lard englué…

 

La semaine est longue et inintéressante. 35 heures c'est long.

Mais arrive enfin le week-end, comme toujours…

 

Alors elle change son costume et met ses habits de lumières corporelles…

Elle aime prendre son temps… Penser à elle…

Elle commence par se délasser longuement dans sa baignoire où elle fume lentement ses cigarettes dans l'eau douce et parfumée chaque fois différemment. Elle se repose et imagine sa soirée… Ce qu'elle va vivre, comme elle sera bien !! Pour l'heure son corps se laisse envahir de volupté. Sa main caresse ses formes si délicatement qu'elle en ferme les yeux et rêve. Une main virile qui chevauche sa poitrine, son ventre, hésite plus bas et ose enfin s'aventurer.

Ses doigts se délient et ce n'est plus elle qui la touche mais cet homme doux et fort… qu'elle ne connait pas…

PAS ENCORE…

Mais cette solitude, c'est pour le quotidien.

Le week-end elle veut affoler les hommes, comme pour les punir de ne pas la regarder en semaine alors qu'elle est si près d'eux.

Elle sait qu'elle va perdre du temps devant sa garde-robe à choisir la tenue qui correspondra au mieux à son état d'âme. Qu'importe si c'est pour être enfin ELLE.

Ce soir elle veut aguicher.

Ce jean très moulant, bien taille basse avec ce ceinturon lui semble parfait. Un joli petit string dessous fera très bien l'affaire.

Et pour le haut un caraco à mi chemin entre provoc et décence !!!

Peut-être un gentil soutien-gorge même si elle n'en a pas besoin… Elle verra ! Ca s'enlève facilement !

Elle a choisi de relever ses cheveux. Elle sentira mieux ainsi les lèvres et la peau de menton un peu râpeuse des hommes en soirée…

Lait corporel ultra doux…

Léger maquillage…

Eau de toilette…

La base même de la séduction…

Comme à chaque fois elle quitte la ville.

Elle ne veut pas rester aux alentours de cette ville qui lui déplait tant.

ELLE VEUT ETRE LIBRE !

75 kms… C'est très bien… La route est longue mais l'indépendance a un prix.

Elle entre dans une discothèque inconnue. Elle a remarqué le regard en coin du portier qui l'a mise en confiance.

A présent elle va se lâcher !!

S'empreignant de l'atmosphère déjà électrisée de la boite, elle va droit au bar où elle commande un whisky-pomme. Elle aime le côté âcre et doux. Ca va l'enivrer un peu. Elle le cherche !! Déjà des hommes la regardent. Elle fait semblant de rien mais joue pour eux avec son corps… Se cambrant un peu plus, exposant son corps à la lumière verticale des spots du bar. Elle danse sur les basses de la musique mais sans trop en faire. Elle se réserve pour la piste…

Son verre terminé elle rejoint les danseurs. Elle a repéré les endroits de la scène où les flashes sont les meilleurs pour anoblir encore sa plastique…

Des femmes la mitraillent !!! " Continuez mesdemoiselles, vous me flattez ! " se dit-elle !!

En levant volontairement et trop souvent les bras, elle sait qu'elle expose ses seins, qu'ils sont encore plus jolis, qu'ils bougent à merveille et qu'ils attirent irrésistiblement les regards des mâles de la salle. Tout comme ses fesses qu'elle agitent le plus diaboliquement ou lascivement possible...  
Des hommes l'entourent... Que c'est bon d'être regardée, d'être admirée. Elle les voit tous et leur sourit sans s'attarder, comme si elle souriait pour elle-même.

Plusieurs s'approchent. Elle se dégage gentiment !

Ce jeu lui plait !

Ce jeu dure de longs moments où elle fait le chat et eux les souris !

Les plus naïfs ou les plus audacieux la suivent…

Souvent la musique  change de rythme.

El le balance son corps aux tempos… un rien provocateur

Elle adore le Jerk bien plus que la Techno ! Ca lui permet de créer des mouvements qu'elle invente à loisir.

Puis les cadences de samba, salsa viennent à règner…

Elle adapte alors ses gestes aux sons chauds des brésiliens. C'est un régal…

 

Un homme s'impose de façon plus virile.

Il l'entoure de ses bras sans la toucher et entame avec elle une danse respectueuse et pourtant torride. Il danse bien, il a le feeling dans les pas, c'est un latin de toute évidence !

Elle accepte son approche. Il est grand son torse masque les autres. Elle se doit d'être telle qu'elle se l'est promis.

Elle pose ses mains sur la taille de son compagnon qui discrètement cherche à coller son corps au sien. Elle l'éloigne délicatement mais lui, puissant, l'enserre déjà dans ses bras…

Elle se retire mais il la tient au bout de ses bras.

Sa chemise est humide de sueur. Cette odeur d'homme qu'elle aime et qui ne la gêne moins encore que son eau de toilette s'y dilue très bien.

Elle pose une main sur son poitrail. Elle devine une musculature discrète mais présente. Deux boutons de sa chemise ont cédé par cette main posée et les gestes de danse qu'il exécute sans faiblir. Les spots ultra saccadés éclairent une toison brune et entretenue.

Elle est troublée.

Elle laisse l'homme aux commandes…

Il lui plait !

Il l'enlace. Elle passe ses bras autour de son coup et leurs lèvres se rejoignent. Les langues se mélangent, se sucent, s'aspirent.

Il la caresse aussi fort qu'elle le fait… Ils frôlent leurs corps… se découvrent.

Bientôt la bouche du latin parcoure le cou fin et dénudé de Sabine. Elle ne peut jamais résister à cet effet qui lui est magique !

Quant à elle se laisse envahir par la présence de cet homme inconnu qui l'excite et qu'elle sait ne jamais revoir…

Il la serre près de lui. Sa poitrine s'écrase sur le torse de l'homme. Elle sent l'effet qu'elle lui fait. Comment ne pas s'apercevoir du désir qu'il a pour elle. Quelque chose de dur et de très présent enfonce son bas ventre.

Elle en est plus que flattée ! Elle aimerait y poser la main mais n'ose encore…

Il saisit son bras et l'amène doucement à l'endroit justement !

Elle recueille dans sa paume une forme oblongue et massive qu'elle connait et qui chaque fois la transcende... Elle ne devrait pas mais en a envie. Elle le touche alors franchement... Elle aime le sentir... Il fait de même avec ses fesses qu'il savoure goulument…

Elle le branle discrètement…

Il va vouloir passer la vitesse supérieure d'ici peu !

Elle lui propose d'aller s'asseoir. Bien sûr il accepte. Isolés, verres servis, ils continuent leur flirt très poussé.

Le coin est sombre. Il se fait déjà tard, ou tôt le matin, la boite se vide insensiblement.

Lui connait déjà tout ou presque de son corps. Il espère le principal qu'elle sait ne pas lui donner.

Il a desserré son pantalon et Sabine s'intéresse manuellement au braquemard quelle a sorti de son ami. Même si l'objet est intéressant, elle ne veut pas coucher avec lui. Seule solution pour s'échapper en toute amitié : le faire jouir ici.

Elle le fait avec l'envie qu'elle ne renie pas. Elle apprécie l'homme, son membre et son corps attirants mais elle aime plus encore la vie libre.

Elle alterne mouvements précis et coups de langue, vitesse et douceur, force et raffinement, attouchements et succion.  Sa bite est très dure et imposante dans cette pénombre, il est fort cet homme et les lèvres de Sabine n'en perdent rien... 

Il ne tiendra pas si longtemps avant de montrer sa faiblesse !

En effet, une longue série de jets sont venus détruire les ardeurs du latin qu'elle a avalé sans hésiter.

A présent elle sait qu'elle a rempli son rôle et en est satisfaite.

Elle peut s'éclipser…

Elle a plu véritablement à faire craquer un homme, un très bel homme même qui aurait pu passer la soirée avec les plus belles filles de la boîte...

 

Elle lui a laissé un numéro de portable bidon.

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