Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 00:21
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Strasbourg est une grande ville, une capitale Européenne même et comme tout grand centre urbain présente l'anonymat espéré par les adeptes du sexe libre.

Luc est un de ceux-là !

Il est avocat dans un des plus importants cabinets de la région. Son métier est dur, pénible et terriblement accaparant qui ne laisse nulle place à l'erreur ni à l'à-peu-près. Ses journées sont harassantes et sa tête trop souvent dans les problèmes des autres…

Cependant c'est un homme de chair et d'émotions comme vous et moi, qui a besoin de s'évader, fantasmer, s'amuser… se détendre… jouir de la vie…

Pour annihiler le stress qui s'accumule chaque jour, il aime à penser et organiser ses petites séances privées auxquelles il s'adonne en compagnie de sa femme… qui lui est une complice fidèle.

Une fois par semaine ils prennent leur belle voiture allemande et peaufinent ensemble, en chemin, au restaurant, le plan qu'ils ont maintes fois réalisé et qu'à chaque fois ils essaient d'ajouter de nouveaux détails, d'anticiper la soirée libertine.

Ce soir ils se sentent en forme et ont dans l'esprit ce désir commun de traverser des moments d'intense complicité.

Lui n'a pas la même approche du jeu que sa femme mais il sait qu'elle aime s'y adonner, tant pour lui être agréable que pour les sensations qu'elle éprouve à satisfaire les fantasmes de son mari qu'elle aime et admire.

Auparavant, et comme à chaque début de séance, Luc a demandé à sa femme de se vêtir devant lui, lentement, des tenues qu'il a achetées le jour même, dans un magasin huppé de lingerie fine, soieries si féminines, si affriolantes, si sexy qu'elle honore à ravir.

Le noir accentue le grain de sa peau, la dentelle souligne la finesse de son corps.

Il aime la regarder s'envelopper dans ces vêtements de luxe et lire dans les yeux de  Sophie son bonheur de l'exciter. Il lui fera encore l'amour mais alors dans son esprit de l'instant comme pour marquer un territoire qui lui appartiendra à jamais, la baiser avant… AVANT !

 

La seule requête que lui avait imposée Sophie était la sélection des hommes pour les soirées. Elle tenait à ce détail craignant devoir rencontrer et subir des mâles trop marqués qui correspondaient pourtant (elle le savait) aux goûts de Luc. Libre de ses envies elle se sentait rassurée.

La séance commençait en discothèque, une de celles dont la clientèle n'est pas trop jeune et dont la qualité est bourgeoise. Les discussions y sont intéressantes et le sortilège agit vite entre personnes de qualité. Elle exerce son charme de façon discrète mais réelle et a tout loisir de sélectionner son candidat.

Ce soir ce sera cet homme grand et mince, Charles, géologue quadragénaire, cultivé aux gestes et paroles raffinés. Luc semble satisfait de son choix. Elle connaît sa façon d'être si l'individu ne lui plaît pas…

Dans la sympathie mutuelle qui s'était évidemment instaurée, le couple invite l'homme seul à boire un dernier verre chez eux.

 

Là, installés dans un petit salon douillet, la conversation se fait plus intime. On décide de se tutoyer.

Luc a dévisagé l'ami d'un soir. Il semble bien fait. Assis, son entre-jambes au travers d'un jean laisse deviner un homme noblement doté. Lui qui se sait avantagé, s'amuse toujours à subtilement juger ces endroits. Sophie l'a comme beaucoup souvent félicité de par ses soupirs et ses orgasmes. A chaque fois c'est comme un challenge pour lui dont il ressort vainqueur et personnellement honoré

 

Le stratagème personnel commence…

 

Luc qui s'est dit chirurgien reçoit un appel sur son portable. Désolé la clinique l'appelle pour une urgence. Il se déclare navré de devoir les quitter mais… insiste vis-à-vis de  l'homme qui s'est déjà levé pour qu'il reste en compagnie de son épouse puisqu'ils sont de bonne compagnie. Sophie regrette le départ de Luc et déplore encore une soirée à rester seule…

Luc surenchérit et Charles accepte mais pour quelques temps seulement. Luc adore la sensation de malaise qui s'en est installée et la gêne de l'homme accentue l'aura perverse que seuls les deux époux comprennent.

 

Luc s'en va. Sophie ressert un verre à Charles. Un silence s'interpose. A elle de jouer !

 

Luc a rejoint la salle mitoyenne au salon. Il pose sur sa tête le casque qui le relie aux micros invisibles installés dans la pièce à côté. Il entendra ainsi les moindres sons et profitera pleinement de son travers de voyeur.

Au sonore il a perfectionné le visuel grâce à un grand miroir sans tain scellé au mur au dessus de la cheminée, face au canapé de cuir confortable et large.

C'est absolument parfait !

Il a tout loisir d'observer et même de temps à autre de photographier ou enregistrer en vidéo les scènes les plus torrides pour les revivre avec Sophie plus tard dans la gêne qu'elle ressentira alors !!

Il aime voir sa femme se faire baiser devant lui. Il les observe et ressent cet indicible martyr qui lui fait du mal et lui plaît tant à la fois. C'est tellement plus fort qu'un banal film porno dont les actes sont si stéréotypés et orchestrés. Là c'est du live, du direct, du personnalisé !

Il scrute les réactions de Sophie et la voit être possédée par un autre dans une façon qui est toujours identique mais qui n'est jamais vraiment la même…

Les corps des hommes sont à chaque fois différents et leurs instincts de baise si divers. Forts, poilus, musclés, fins ou autres la surprise est toujours au rendez-vous. Violents, délicats, virils ou timides les hommes sont complexes dans leurs ébats.

Partager avec sa femme ces moments d'intimité au travers du miroir corrompu, la voir être soumise l'excite pleinement. Bien sûr il déteste voir le sexe durci des hommes pénétrer sauvagement et illégalement sa femme le torture mais il sait qu'il en sera toujours le maître et le seul qui compte pour elle. Il regarde le sexe de chaque homme qui passe et, s'il sait qu'il se conduit comme un adolescent attardé, au fond de lui, se savoir supérieur efface l'injure désirée.

Souvent elle se masturbe pendant leurs coups de buttoirs. Elle le fait en regardant fixement la glace comme pour signifier à Luc son pouvoir sur l'autre. Ca le rend fou d'extase et il se branle fermement tout en répondant mentalement à sa femme.

 

Charles reste muet quelques instants ou ne profère que des mots sans grand intérêt. Il est sans doute troublé par les gestes féminins que Sophie s'évertue à déployer. Le corsage échancré de sa robe abreuve les yeux de l'homme. Les formes de la belle femme sont si savamment vantées pour lui seul qu'il en est perturbé.

Sophie le sent et ouvre la brèche. Elle s'approche de lui. Il se lève et passe derrière le canapé. Étonnée elle le conjure de la rejoindre et lui avoue son désir pour lui. Déjà excité Charles bredouille l'absence de Luc que Sophie balaie d'un ordre à se déshabiller.

N'y tenant plus, Charles enlève sa veste et déboutonne sa chemise. Elle le regarde se touchant les seins et l'implore d'en faire plus. Il dégrafe son ceinturon puis son pantalon et abaisse le tout laissant jaillir un sexe d'une taille impressionnante.

Le silence de plomb que laissa tomber Sophie et le regard fixe qu'elle posa sur l'engin inquiéta fortement Luc.

Le mec en avait une bien plus imposante que la sienne.

Il n'avait pas prévu cela…

 

Les quelques secondes intenses que venait de vivre Sophie, son mutisme et sa pause plongèrent Luc dans l'émotion de l'inconnu. Qu'allait-elle faire à présent ?

 

La femme s'empara du sexe déjà bien tendu et toujours conforme à sa taille pour le branler. Ses doigts entouraient le membre avec cette ouverture que prodiguent les bons diamètres. Le gland violacé et luisant de mouille apparaissait et disparaissait sous les secousses manuelles. Elle s'approcha assez vite et enfourna le tout dans la bouche. A ce moment rituel, à chaque soirée, Sophie se tournait vers le miroir pour exciter plus encore son mari. Elle sait qu'il aime se faire pomper goulûment et ainsi elle transposait la pipe sur lui. Là il n'en était rien, comme si la convoitise de sucer un tel sexe lui avait fait oublier le cadeau… Elle tentait d'avaler mais sa bouche même ne pouvait contenir l'intégralité. Luc était perplexe. La main de Charles sur la tête de Sophie tentait de lui faire ingérer mais n'osait imposer la chose trop vertement. Les saccades de Sophie trahissaient le désir et l'envie. Son plaisir à tailler ce diamant était plus qu'évident. Le visage de la femme resplendissait de bien être, les yeux fermés, léchant, dévorant et longeant cette queue déployée…

Charles lui retire le membre et la couche sur le canapé. La délicatesse de ses gestes continua d'exaspérer Luc, sachant sa femme sensible à cela.

Décidément cet homme avait tout pour lui déplaire à présent, lui musclé et trop bien monté. Pour la première fois il se sent jaloux. Il enrage de ne pouvoir stopper la scène et cependant jubile de tout cela.

A présent l'homme est sur le corps de sa femme… Il les regarde faire, impuissant, car intervenir le couvrirait de ridicule.

Il la prend avec mesure et efficacité.

Connaissant la valeur et la taille hors du commun de sa bite, Charles empoigne son membre pour l'introduire le plus délicatement possible. Il entre doucement et Luc entend à son grand désespoir le râle doux de sa femme… Elle a fermé les yeux et entrouvert sa bouche encore chaude de ses va-et-vient d'il y a quelques instants…Une fois pénétré, Charles accélère la manœuvre et possède de plus en plus profondément le ventre de Sophie. Celle-ci retient ses râles puis se libère dans des gémissements qui excitent désormais terriblement Luc.

Il s'est déshabillé totalement, a délivré sa belle queue raidie d'excitation intense et se branle lamentablement mais ardemment, sauvagement derrière ce miroir qui l'empêche de s'imposer.

 

L'homme la baise bien. Tellement différemment pour elle malgré le manque d'originalité. Tellement mieux, tellement plus fortement grâce à son atout. A cela il sait apporter une certaine tendresse dans les mots ou ses silences… Il évite d'apposer sa masse musculaire sur un corps déjà traumatisé.

Bien vite Sophie se met à hurler. Les yeux toujours clos par le plaisir, elle exprime sa jouissance. Luc reconnaît les orgasmes de sa femme et sait que LA ils ne sont pas feints. Souvent elle faisait croire à ses partenaires qu'ils lui avaient apporté l'extase mais il savait traduire la comédie !! Là il est déstabilisé ! Elle ne simule en rien.

C'est alors que l'impensable arriva. Sophie demanda à Charles de l'enculer. Luc n'en croyait pas ses oreilles… Le ton avec lequel elle avait fait la proposition ne lui laissait aucun doute sur son plaisir…

Charles laissa Sophie se retourner puis la prépara quelques longues minutes avec un talent d'expert sous les preuves manifestes d'un caprice féminin… par les doigts, la langue et quelques gouttes de salive lubrifiantes…

Pris il la prit.

D'abord sobrement, toujours en délicatesse, puis plus fermement, plus intensément… La femme se pinçait les lèvres et renversait la tête à chaque mouvement de pilon. Luc ne pouvait décrocher son regard de ce qu'il voyait. Le gros membre défonçait littéralement les fesses de sa douce qui grognait sous le supplice. Lui n'en pouvait plus de s'astiquer et sentait la pression monter. Il ne voulait pas… PAS ENCORE…

Il appelait Sophie par la pensée mais elle l'avait oublié ou tout comme ! Rien d'étonnant à cela… Elle n'osait sans doute plus le regarder !!

Les coups allaient bon train…

Puis Charles se retira.

Elle se retourna encore et il se remit en elle en lui tenant une jambe. Luc admirait la scène et profitait du spectacle avec délice…elle se tenait à l'accoudoir tant l'homme était vaillant… Luc admirait la beauté des corps…

Charles de son côté avait perdu la bienséance bourgeoise et manifestait l'envie de jouir… Sophie accepta… Il retira sa queue luisante et se branla sur le corps alangui de Sophie qui le regardait et l'encourageait… De longs jets de sperme atterrirent sur le ventre et les seins que la jeune femme étala avec délectation avant d'en lécher les restes goulument…

 

A son tour Luc explosa en foutre dans sa main tout en savourant le plaisir qu'eux trois avaient ressenti mutuellement mais… séparément.
Lui qui se croyait le plus fort, il avait trouvé son rival, son adversaire…oppresseur mental !

Par CENTAURE - Publié dans : DELIRE D'ECRITS...
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Commentaires

Haaa, encore un récit bien excitant... j'en ai mouillé mon slip ! lol ... le côté voyeur / exhib ... mmm ... ;-) Vivement le prochain !
commentaire n° :1 posté par : little le: 10/08/2009 à 01h00

QUI EST CENTAURE ?

  • CENTAURE
  • CENTAURE le bûcheron en rut !
  • Homme
  • sexe bi masturbation plaisir sexuel
  • Ooooh que dire d'interessant ? je suis scorpion donc très attiré par le sexe ! Je suis tres tolérant en cette matière et surtout très très amateur de JOUISSANCES... J'aime me montrer nu ! Venez en profiter !

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