Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 02:39
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Je vous laisse à lire un courrier (texte intégral) que j'ai reçu aujourd'hui de Daniel, un ami très fidèle que j'affectionne particulièrement (voir coup de coeur )
Cet homme est hors du commun ! Vous en jugerez une partie de sa personnalité à travers son récit.
Bien sûr je publie avec son accord express de même que sa photo.
Je ne saurais que vous conseiller d'aller visiter son book dont l'adresse est jointe en bas de texte !
Bonne lecture !


Salut mon Centaure,
Me promener sur ton blog est toujours source de plaisir. J'ai adoré l'histoire du petit Belge de Mons. Je pense qu'il existe mais que son dépucelage n'a pas (encore ?) eu lieu ... En tout cas, je suis persuadé qu'il y a des éléments vrais là-dedans. C'est bien écrit, c'est excitant, ça donne le gourdin, c'est génial !
En revanche, je sais pas pourquoi mais tes vidéos sont difficiles à mater. Elles s'arrêtent toutes les quatre secondes et reprennent quand elles veulent, ça coup un peu la chique, si tu vois ce que je veux dire
J'aimerais bien voir "Les bienfaits de la solitude"... Tout ça pour te dire que même lorsque tu es seul, tu ne l'es jamais vraiment puisqu'il y a des mecs vicieux comme moi qui te matent avec délectation.

Tu sais, j'ai trouvé près de chez moi une aire de drague dans la forêt de Meudon. C'est assez sympa, pas trop fréquenté, juste ce qu'il faut souvent par des hétéros ou des bis qui rentrent du bureau ou qui font la pause déjeuner. Parfois aussi par des routiers qui font une halte pour dégorger avec des pédés. Hier, j'ai vachement pensé à toi car je me suis fait défoncer par un livreur très viril, costaud, musclé, poilu assez hard dans sa façon de procéder. J'ai commencé par lui tailler une pipe, mon exercice préféré et celui dans lequel j'excelle (sans prétention, tous ceux que je pompe affirment que ma bouche est aussi douce et profonde qu'une chatte ! Une telle unanimité me laisse croire que... c'est vrai !)
On s'est complètement desapés, accrochant nos fringues dans les branches du bosquet dans lequel on a avait trouvé un petit hâvre de paix. il a gardé à la même un préservatif qui ne m'a laissé aucune illusion sur ses intentions. Les proportions de sa teub uncut étaient, au déballage, de dimensions tout à fait honorables mais ne laissaient en rien présager de ce qu'elle allait donner, une fois déroulée. Je m'en suis vite rendu compte sous les coups de langue habiles et sensuels que je lui prodiguais. Par moment il me forçait à prendre son mandrin bien au fond de la gorge en maintenant fermement ma tête contre son bas-ventre. J'étais ainsi contraint de prendre à pleine narines l'odeur de son pubis sur laquelle planait une macération de quelques gouttes de pisse, de liquide séminal et de sueur, le tout exacerbé sous l'effet de la chaleur des embouteillages. Je calais donc son gland sous mon palais et biberonnais avec gourmandise cette friandise qui semblait ne pas vouloir cesser de grossir ni de grandir. Quand il eut décidé qu'il était prêt, je ne pus m'empêcher de regretter de l'avoir ainsi chauffé à blanc. Sa bite était vraiment énorme et je me suis dit que mon petit cul qui en a déjà vu de toutes tailles et de toutes grandeurs n'allait pas, cette fois, supporter les proportions hors normes qu'il était en train d'envelopper d'une capuchon de latex taille XL.
Effectivement, je compris rapidement que j'aurais dû me contenter de le pomper consciencieusement et de le mener ainsi à la jouissance sans lui laisser le temps de prendre d'autres initiatives. A peine avais-je eu le temps de me badigeonner le fion avec du gel que je le sentis raide et prêt à fourrer. Son introduction fut franche, directe et sans préliminaires. Cette prise de contact m'arracha un cri que je ne pus réprimer. Il m'arrive parfois d'être bavard pendant qu'on me baise, je trouve cela stimulant pour les deux parties. J'ai vite laissé de côté cette option. Lui ne paraissant pas sensible à d'éventuels babillages, moi trop occupé à réprimer mes cris de souffrance qui n'étaient pas encore de la jouissance.
D'emblée, il poursuivit son introspection avec fermeté, insensible aux cris qu'il m'arrachait. J'étais partagé entre le désir de lui demander de se retirer et curieux de constater si ma souffrance allait se transformer en plaisir. Aussi surprenant que cela puisse paraître, sa queue semblait grossir et se durcir un peu plus. Il était parvenu, par la force, à se frayer son chemin jusqu'à la garde. C'est alors qu'il commença à me bourrer avec une ardeur et une violence peu commune. Ses vigoureux coups de boutoir me tiraient des soupirs rauques de protestation. Je m'emparais de ses couilles pour constater qu'il était bien à fond et qu'il ne pouvait aller plus loin. A fond, il l'était, mais je sentais sa tige se retirer jusqu'au gland pour mieux m'enfiler à chaque coup de reins. Je m'accrochais au tronc de l'arbre qui me faisait face pour qu'il ne déculle pas. Aucun risque en réalité. J'étais collé à son pieu comme une chienne. Chaque fois qu'il semblait ralentir, c'était pour mieux me défoncer.
Tout en continuant à me besogner sans faiblir dans son ardeur, il me saisit les couilles sur lesquelles il se mit à tirer comme on le fait du pi de la vache. Il lui vint soudain l'idée de  m'assener de violentes claques sur les fesses. Cela faisait vraiment mal, ce qui avait pour effet de le rendre encore plus raide et violent dans ses assauts. Soudain, il se mit enfin à ralentir. Je me sentis en communion avec sa queue. Je compris qu'il me laissait, pour un temps qu'il serait seul apte à décider, toute latitude dans les mouvements que je souhaitais adopter pour poursuivre ce singulier accouplement. Profitant de cet instant de répit, je me mis à aller et venir de façon à lui donner l'impression de m'empaler sur son pieu volumineux. Mon consentement allait-il être un facteur de circonstances atténuantes. En devenant le maître de la situation, j'allais peut-être enfin trouver le plaisir qui tardait à venir cédant le pas à la douleur. Mais cet instant de répit fut en réalité de courte durée : jugeant que cet empalement était un supplice bien trop doux pour le cul qui s'était imprudemment offert à son vit, il décida de reprendre ses douloureux coups de boutoirs. Un jeune type qui était arrivé sur le parking en même temps que nous choisit cet instant pour nous débusquer dans cette cachette que nous pensions inviolable. Sans nous demander notre avis, il fit tomber son short et son calebute à mi-cuisses. Mon homme des bois le branla tout en poursuivant son ouvrage. Puis, il le guida vers ma bouche et sans un mot me fit comprendre qu'il me fallait désormais me concentrer sur la bite de l'intrus tout en continuant à supporter sa brutale sodomie. Bien stimulé par les va-et-viens de ma bouche orchestrés par ceux de mon dominateur, le jeune type, déjà bien excité, ne tarda pas à gicler sur mon visage. Je m'aperçus alors qu'il avait une très belle queue uncut et que sa forêt de poils pubiens aurait été un beau terrain à explorer. Une autre fois peut-être... Il disparut rapidement.
Mon enculeur me besognait ainsi depuis un bon quart d'heure. Cette intrusion ne l'avait pas déconcentré et semblait n'avoir attisé que la brutalité et le fermeté de ses assauts. Finalement, il décida que mon supplice avait assez duré. Il décula, sans grande précaution, retira d'un geste la capote et s'engouffra de nouveau dans ma bouche. Sa queue n'avait plus le même goût. Le latex avait pris le pas sur toutes les odeurs qui m'avaient enivré tout à l'heure. Je n'avais pourtant d'autre choix que de donner ce qu'il réclamait. Je le fis avec une ardeur que ma liberté retrouvée décupla. Il se branla dans ma bouche histoire de m'indiquer le rythme de croisière qui était le sien. Je prenais garde de jamais utiliser mes mains et de lui donner tout le plaisir auquel il aspirait avec ma seule langue. Je le sentis bien tôt près de l'extase. Il se retira de l'emprise de mes lèvres pour gicler abondamment sur le sperme du jeune garçon qui l'avait précédé. Mon visage inondé de foutre semblait ne jamais tarir la source de son geyser qui coulait maintenant sur mes épaules et mon torse nus.

Ce mec viril et brut, il me plait de croire que ç'aurait pu être toi. Oui Centaure, c'est en pensant à toi que j'ai vécu cette scène et que j'ai pu la supporter.
Je t'embrasse mon Centaure, tu es, pour moi, toujours le plus chaud et le plus beau  !
Dan
www.flasherdan.jepose.org
 
ps : je te joins une tof un peu dans l'esprit de celle que tu avais mise il y a quelques mois en photo d'accueil.
Par CENTAURE - Publié dans : AH ! MUSES ! ET VOUS ?
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Commentaires

intéressant ton blog ! excitant !

http://www.bimachopervers.com/ 
commentaire n° :1 posté par : Yann le: 10/08/2009 à 21h53
Merci beaucoup !!! A bientôt j'espère !
réponse de : CENTAURE le: 13/01/2010 à 15h10

QUI EST CENTAURE ?

  • CENTAURE
  • CENTAURE le bûcheron en rut !
  • Homme
  • sexe bi masturbation plaisir sexuel
  • Ooooh que dire d'interessant ? je suis scorpion donc très attiré par le sexe ! Je suis tres tolérant en cette matière et surtout très très amateur de JOUISSANCES... J'aime me montrer nu ! Venez en profiter !

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