Si vous avez  lu les résultats du sondage que j'ai élaboré, vous avez vu qu'on me demande des récits de ma vie intime ! Tant mieux et moi qui suis sans tabou je m'y lance volontiers !

J'ai choisi ce soir de vous raconter une expérience de partouze parmi celles, nombreuses à une époque, que j'ai vécues. C'est certainement la plus élaborée et la plus intéressante qu'il m'a été donné de vivre !!
Vous allez en juger et qui sait, elle va peut être vous guider si vous aimez organiser !

Nous avions rendez-vous dans un chalet des Hautes-Vosges, pas très loin d'Epinal, à une heure non fixée, dans un créneau entre 22 h et minuit. Chacun était libre de venir selon son humeur pour faire ou non connaissance avec les partenaires.
Personnellement, connaissant déjà les organisateurs, je me suis pointé à 22h30.
Je savais que tout serait top, ce sont des as de ce genre de soirées ! Quant aux suivants eux sont venus vers 23h.
Cela m'a permis de discuter et j'ai eu le temps de boire et de fumer un peu ! Juste ce qu'il faut pour être en phase...
Je ne connaissais parmi les "convives" que 3 personnes sur les 7 invitées.

Dans ce chalet, un vestibule d'entrée permettait une halte avant le salon où brûlait déjà un feu à l'âtre. Les lumières étaient judicieusement tamisées mais sans trop, pour bien voir les futurs corps dénudés.
Accueillis par la maîtresse de cérémonie (Nadine) en tenue brodée légère recouvrant une guêpière noire, noblement parfumée... les amateurs étaient vite mis en confiance... 
Sur une table de cette petite pièce, étaient posés différents paniers avec des loups, masques et autres accessoires pour masquer le visage des timides éventuels (il y en a toujours dans ce type de fêtes !) qui souhaiteraient, même quelques temps, se cacher de la vue des regards.
Juste à coté de là une chambre, fermable à clef, où chacun pouvait se déshabiller seul d'emblée ou aller le faire plus tard... Moi bien sûr j'étais déjà nu dans le salon avoisinant...
3 personnes sont venues nous rejoindre, nous serions donc 6... Une, ou un, a failli !! On en a ri !

Les présentations ont été faites sommairement par Nadine, qui s'était mise nue juste avant tout comme son mari. Peu importait la véracité des noms !!!
Sur une table basse mise de côté étaient étalés bon nombre de préservatifs OBLIGATOIRES et de sachets de gel lubrifiant. De même, sous la table, étaient disposées quelques serviettes éponge.
Sur cette même table étaient à disposition différents alcools pour qui serait tenté et quelques pétards...

Nadine et son mari exposèrent les conditions :
Capote obligatoire; respect inconditionnel de chacun; pas de violence; pas de tabou; droit aux envies personnelles sans l'accord du conjoint; pas de dispute; pas de photo ni vidéo; permissivité sexuelle indiscutable; pas de scato; liberté de quitter si nécessaire...

Les verres se sont entrechoqués... Les masques sont tombés... les volutes de fumées passées de mains en mains...
Un couple était resté vêtu et l'autre homme que moi lui s'était mis nu comme un ver... Je le connaissais déjà...
L'ambiance était sympa, même excellente...
Comme tout homme, je craignais de voir chez l'homme marié un membre hors du commun qui nous aurait tous un peu gênés, nous en avions plaisanté ! Il décida le premier à passer outre sa pudeur en descendant sa braguette et à nous exposant un sexe sympathique et tout à fait jubilatoire ! Il s'approcha ensuite de sa femme, nous a vanté ses talents conjugaux et nous a assuré de sa totale liberté de venue parmi nous.
Il l'a déshabillée dans le rythme de la musique ambiante puis s'est mis nu. Elle était plus que ravissante, jeune, souriante, brune, non rasée, seins lourds...
Les femmes étaient il est vrai très excitantes, maquillées dignement pour une telle soirée et dotées de formes alléchantes, comme je les aime... La moyenne d'âge du groupe était d'une trentaine.
Les hommes étaient pas mal faits. Virils.
Nous sommes restés quelques temps nus, là, sans vraiment oser commencer les ébats, pendant quelques minutes trop longues...
Intelligemment le mari de Nadine ouvrit les séances par un longue pelle et caressa le corps de sa femme avec volupté. Son sexe se mit à durcir comme le nôtre...
Les couples s'enlacèrent et nous, les 2 hommes sans compagne restions là à regarder et à nous toucher... seuls...
Nadine vint vers l'autre homme... L'embrassa fougueusement... Lui caressant le torse qu'il avait très poilu tandis que son mari, Xavier, caressait les fesses de l'autre femme... Celle-ci laissa son mari, salua les mains de Xavier et posa une main sur ma cuisse... Je m'empressai de découvrir ses formes avec ardeur par mes mains et ma bouche avides. Devant cette entrée en matière efficace, l'autre homme seul se plongea dans son excitation.
Très vite tout le monde fut mélangé sur l'épaisse couche de matelas de camping qui jonchait le sol. L'affaire était lancée...
Les bouches se mêlaient aux lèvres comme aux poils pubiens. Les soupirs et bruits humides nous excitaient sans les entendre. Les corps étaient entrelacés, mains et jambes, bras et sexes, langues et intimités, seins et muscles, transpirations et moiteurs... le tout réfléchi dans des miroirs posés à même le sol.
Qui dévorait vaillamment une chatte offerte, qui suçait une queue, qui tendait son cul à des doigts ou à une sodomie régulière, qui gémissait ou haletait... Chacun vaquait à ses envies et besoins sauvages.
A différents moments de ces joyeuses folies, certains avaient préféré se retirer pour jouir du spectacle porno en live, tout en se masturbant ou touchant un autre corps. Moi le voyeur, j'aimais ces moments et me suis même vu branler à mon tour un homme lui même matant le spectacle !
Les femmes se donnaient en plein à ces jeux très excitants, allant sans vergogne de l'acte hétéro au sophisme délicat. Quant à nous, mâles plus réticents, avons eu plus de mal à accepter une relation homosexuelle.
Le premier à se lancer fut Xavier, ce qui m'étonna le connaissant, mais il m'avoua plus tard avoir décidé cela pour libérer les esprits. Il s'approcha de l'autre homme, le velu, lui caressant à pleine paume sexe et couilles, le travailla et lui prodigua une pipe magistrale, visiblement très appréciée, qui excita énormément sa femme en plus de toute l'assistance ! Nous l'encouragions vertement à savourer... ce qui fit jouir puissamment le 3eme homme, Yohan. L'homme tenait la tête de son suceur dans des râles profonds et prévint le maître d'oeuvre qu'il allait juter... S'étant retiré de la bite turgescente, Xavier branla plus fortement le zob et... je me souviens de plusieurs gigantesques jets de sperme projetés sur sa pelure noire intense... Ce que sa femme vint lécher goulument...
Xavier alla se terminer dans la fente anale de la femme de son "ami" et moi dans une bouche...
4 hommes vidés, les 2 femmes s'intéressèrent à leurs propres corps sous nos yeux ravis... et nos verres que l'ont vidaient aussi !!!

Les préservatifs déroulés et salis étaient là, sur le sol, nous rappelant à nos devoirs.
Nouvelles séries de pénétrations diverses et échangistes.
Des godes apparurent dans le jeu. Servirent à plusieurs, d'abord les femmes entre elles puis introduits par nous... Yohan suçait régulièrement un gros calibre tout en se touchant puis se lança dans une turlutte sur Xavier et l'autre gars. Je baisais à coté de lui Nadine et, tout en le matant pomper, je me rappelle l'avoir incité, devant son évidente envie de queue, à la sodo... Il accepta mais ce fut l'homme poilu, Etienne, qui le déflora. Il eut mal malgré l'abondance du gel de la préparation nécessaire et l'excitation évidente...
Pour ma part que j'aimais m'enivrer des senteurs pubiennes, avaler un excitant mélange de cyprine et de salives indéfinies, y enfoncer une langue quand une bouche vous aspire et que des mains vous caressent sans voir à qui elles appartiennent.
Se faire branler par des mains douces et désireuses... caresser des formes généreuses... rouler des pelles indécentes... donner des coups de reins puissants et sans retenue...
Tenir, observer, faciliter l'intromission d'un autre... se livrer... accepter le contact avec d'autres peaux inconnues voire du même sexe... copuler !

Dans ce genre de soirée, ce que j'aimais particulièrement c'est la proximité des êtres, l'abandon de chacun à cette trivialité que l'on se cache à soi même souvent, cette exaltation des sens du moment, même si, après coup, l'envie charnelle retombée, les actes paraissent plus conséquents...
Une pause pour manger un peu avait été prévue. Les douches aussi...
Une reprise fut réalisée... moins furieuse...

Cette partouze est restée pour moi mémorable.
Elle était pourtant classique dans la fusion des corps, l'expression et l'accomplissement des désirs individuels. Elle l'a été parce que sans gêne ni vulgarité gratuite.
L'osmose entre les individus est primordial. Bon nombre de parties fines terminent dans l'excès.
Cette fois le comité était assez restreint et SURTOUT connu des protagonistes. Ils savaient qui ils invitaient et avec qui ils organisaient.
C'est là à mon sens la clef d'une réussite .

J'ai vécu d'autres partouzes, moins perfectionnées, moins confortables, plus scabreuses donc moins enthousiasmantes. Quand l'attrait des sens fait place au graveleux... les souvenirs pâlissent très vite !

Dans la lumière douce et sereine des rues de ma ville endormie, après une longue et harassante journée à baisser la tête sous le travail, je cherchais à me détendre en compagnie de mon chien sous les arbres protecteurs de la rue de la République...
Même fatigué je n'arrivais pas vraiment à trouver le calme au fond de mon être, soucieux, quelque peu angoissé d'un avenir incertain et pourtant sinistrement aseptisé. J'avais beau vouloir m'imprégner des saveurs de ce moment où les feuilles des tilleuls parfumaient l'air en dansant sous le vent léger, mon humeur demeurait empesée.
Je me félicitais cependant d'avoir décliné le conseil d'amis avisés qui m'avaient civilement initié au CD d'une chanteuse distinguée pour oublier mon spleen, certain du futur bienfait de ma démarche nocturne...
Soudain mon chien commença à s'agiter. Je le calmais d'une voix réconfortante mais ses grognements devenaient plus nets...
Je commençais à m'impatienter quand surgit d'on ne sait où une très jolie femme, habillé bourgeoisement. Elle même promenait un petit chien borgne hélas, affaibli par l'âge mais étrangement agressif.
Le prétexte était tout trouvé pour engager une conversation diplomate et intéressée de ma part. Je me suis excusé de l'accueil fait par mon animal ce qu'elle minimisa par un regard envoûtant. Son visage gracieux était savamment maquillé .
La discussion était devenue bien courtoise, chiens maintenus au garrot... 
Elle aussi peinait à s'endormir...
Tout en marchant nous faisions connaissance puis pour prouver mon intérêt au froid qui l'envahissait peu à peu, je lui propose un verre dans un bar resté ouvert...
Elle semblait s'intéresser à moi. J'en étais troublé. Cette marque d'attention sur ma pauvre personne me flattait et j'espérais la séduire... Je me laissais me poser diverses questions qui, pour certaines me paraissaient bien indiscrètes.
Naïvement je la renseignais avec ce naturel que l'on me reproche trop souvent !!
Assez vite elle su tout de moi.
Je m'efforçais à en savoir plus sur elle, ce qu'elle esquivait par un curieux sourire énigmatique...
Je m'étais livré nu de l'âme, satisfait de ma fin de soirée mais n'avais pas réussi à cerner ma belle inconnue.
Nous nous quittâmes, lui signifiant d'un air dépité mon regret de la voir me quitter si vite, moi qui étais tombé sous son attrait.
Je ne savais d'elle que son prénom... et l'endroit où je l'ai galamment raccompagnée.

Les jours passèrent dans l'espoir de la revoir. Tant de jour que de soirée... Arpenter les rues du quartier était devenu un espoir.

Puis ma compagne reçut des appels anonymes alors que je la cherchais...
Une femme l'avait informée de mon inconsistance à draguer... ce qui ne manqua pas de dissoudre notre couple...
Des gendarmes vinrent enquêter sur la santé de mon chien... 
Mes voisins eurent dans leur boite aux lettres des photos de moi en réunions politiques...
Un homme vint me casser la gueule pour avoir cherché à rencontrer sa femme...

EDVIGE...

Bien sûr cette histoire n'est qu'une fable, vous l'aurez peut-être deviné.
C'est une imagination pour illustrer mon sentiment face à ce que l'on nous imposerait si nous ne restons pas vigilants.
Aucun renseignement sur notre vie privée, nos choix, nos désirs, nos opinions ne doit être exploité par quiconque.
A faire trop confiance à qui semble respectable peut tôt ou tard entraver notre LIBERTE.
L'individu est individu. La collégiabilité n'a de sens que dans l'entraide.
L'uniformisation bien pensante est un danger.
Le bétail seul est numérotable, qualifiable, parcable pour mieux être exploité.

Au nom de sacrosaintes valeurs sociales, de pseudos dogmes, de repeuplements colonisateurs, les dirigeants ont manipulé sournoisement les populations civiles...

Pensons à ce qu'aurait réussi à commettre le régime de Vichy avec un tel fichier...

REAGISSONS TOUJOURS...