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Dimanche 17 février 7 17 /02 /Fév 03:00
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Par CENTAURE - Ecrire un commentaire
Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 14:03
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Internet on en convient tous, est un outil fabuleux. On y trouve de tout comme à la Samaritaine… culture, musique, infos, sexe… tout y est bon à prendre… enfin faut trier tout de même ! La vie cybernétique ne se cantonne pas exclusivement à la recherche de compléments culturels, de possibilités d’achats sur catalogues, d’images en tous genres et autres vidéo-gags, elle propose aussi la rencontre pure et simple de deux êtres..

Bref ! c’est l’outil de communication idéal.
(et dans communication y-a ???...  Ah ah ah que je suis drôle !! )
Désormais grâce à Bill Gates, mesdames z’et messieurs TOUT EST POSSIBLE…
La preuve en est…

Soirée morne s'il en fut, typique de l’ère sarkozienne débutante. Tiens allons tchatter… de toute façon rien à perdre…
Absolument pas convaincu du bien fondé de mon initiative, je trempe aveuglement mes cyberpanards dans le seul tchat que je connaisse : Lycos.
Pseudo à la gomme, fausse bonne humeur, fausse envie de discuter… juste le vrai besoin de griller quelques centaines de secondes.
Liste désespérante des salons. Nombre ahurissant de personnes connectées… C’est dire si les gens s’emmerdent dans la vie !! Je souris navré !
Dans la masse glauque des rooms proposés, coincé entre salles “gays” ondulant, “lesbiens” aboyant, “Islamisant” prosélytiques… un salon semble se détacher malgré un titre hyper racoleur : BELLES BRUNES. Hommage certain à Carla... “soyons ridicule jusqu’au bout , lance-toi mon gaillard”, me suis-je dit !!! Je me Nicolatise à donf et me vautre dans la niaiserie ambiante !!
Les incontournables “kikoo”, “slut ”, “ki pour” déferlent sur l’écran. La cohorte de pseudos tous plus capilotractés les uns que les autres ou tout aussi niais que le mien, défilent devant des phrases javellisées, consensuelles, affligeantes de non sens.
Hommes en bleu… Femmes en rouge… Uniformes basiques !!!
Communiste convaincu je penche sur le rouge vermillon comme sur des lèvres joliment maquillées !!! Un pseudo me fait de l’œil !!! c’est “c... ?” ... Eh NOOOON ! ça va pas ? je vais dire à la place “cirparisienne”… mon esprit s’envole vers des bas noirs, une chevelure brune… des yeux de braise…
Je plonge ! Appel en Message Privé !!! L’eau va être glaciale… mais j’ai l’habitude du froid avec mon métier !!! Je grave un pitoyable “Bonsoir ! je peux te déranger ? ”… Va me undefined ravager c’est sûr !! Niaiserie qu’il me faut assumer car faute de mieux… !!!
Le long silence qui s’ensuit me conforte dans mon autocritique absolue. 
Bonsoir ! bien sûr ! sinon serais pas là !  ”…
Je n’en reviens pas ! Pas fadaise, pas de LOL, pas de PTDR et encore moins de comment va ? Et surtout ELLE ME REPOND !!
S’engage une conversation surréaliste ! Figurez vous que ses origines sont Lorraines… Mieux encore ses grands-parents sont Vosgiens. Elle me situe même leur lieux de vie… A quelques kilomètres de chez moi !!! JE CROIS REVER ! et les noms qu’elle me précise ne peuvent se trouver sur la carte du calendrier des PTT !!! On plaisante, s’ébahit, s’écrit des phrases que la jalousie du tchat ne me transmet qu’à regret vu la lenteur d’exécution… On parle d’oiseaux, de forets, de chasse… étrange discours sur une plateforme d’échanges généralement orientés sexe. On rit ensemble de nos propos humoristiques… le moment est trop agréable…
Les textes fusent, se croisent même et leur ordre en est perturbé … tout comme moi du reste ! On s’en agace la cyber mauvaise foi laissant cours à des quiproquos importuns…
J’ose lui parler de MSN… AIE ? verdict…
WOAW… OK ! Sans en perdre une minute, galant, je donne, je livre, je mets en pâture mon adresse.
Réponse quasi immédiate ! Je m’empresse de quitter l’assemblée virtuelle du tchat, la laissant patauger dans sa vase…
Et c’est le début de 3 courtes heures d’un grand dialogue undefined continu. Parsemé de rires et de provocations, de compliments et de descriptions, d’autocritiques et d’autodéfense… de galéjades et de bonne humeur. On rit de notre différence de taille. Son mètre et quelques se perd dans mes 1.97 et sa fragilité ridiculise mon poids. Mes énormes moustaches à la hongroise lui rappellent son grand-père décédé… je lui raconte Neandertal !!
On fusionne…
Plus de distances géographiques, nous sommes l’un face à l’autre. Seule la nuit, aussi magique soit-elle, qui avance inéluctablement, nous grimace et nous oblige à nous séparer. Notre devoir de récupération avant nos jobs respectifs nous impose un sérieux bien traumatisant. On s’embrasse, on se quitte à regret après nous être vivement remerciés du bon moment passé et de l’envol réussi de nos soucis !
Je grave sur du marbre l’adresse…
Le lendemain je me connecte à MSN… Fin d’après-midi crasseux. Et quelle surprise… Qui me contacte depuis son bureau ? Devinez !! eh ouiiii !!! Reprise des feux d’artifice !
On passe un cran ! On se dévoile. On débat sur nos vies, nos aventures, nos amours déçues, nos émois, notre sexualité, le temps qui passe. La jeune femme est ouverte, libérée, affranchie même. Tout pour me séduire. Je la drague, la cajole, la déstabilise, la provoque… bref je l’étudie amoureusement.
La bougresse a du tempérament ! J’adore ! De plus comme moi c’est une italienne… Tout pour secouer mon âme d’ours !
Rendez-vous le soir même. Chez elle…
Enfin réunis, on parle encore plus intimement. Nos verbes s’érotisent. Je l’embrasse undefined virtuellement hélas mais violemment. Un trouble mutuel s’installe… Ma caméra s’ouvre… Ma caméra lui dévoile mon physique. Mon physique en veut plus. Elle aussi. Je me déshabille, me mets torse nu… Je termine nu devant elle… Je suis TROUBLE ! 
Elle me demande mon numéro de téléphone. Mon sang bouillonne.
Un effroyable doute s’installe… GRRR et si c’était un homme déguisé sous un pseudo de femme comme il m’est arrivé de le vivre.
La sonnerie retentit … “Allo !
AAAAAAH
Allo ! c’est Graziella ! ” Plus de doute.
undefined Voix féminine, claire, légère, énergique, aimable… Vive Graham Bell !
Nos mots s’enflamment. Ma vidéo lui témoigne mon ardeur, ses souffles trahissent sa moiteur.
Je lui fais l’amour par téléphone. C’est excellent. Nous aimons… nous nous aimons…
Moments délicieux où deux êtres s’enlacent à travers un écran et un champ magnétique. Première expérience pour elle. Ce qui accroît son excitation. Je fantasme sur ses mots, elle réagit aux miens… Je pense à ses doigts chanceux, je m'évade des miens... Nous achevons notre ébat dans un silence identique à celui que reçoit un lit…
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Vous ne me croyez peut-être pas… vous en avez le droit c'est certain et pourtant c’est véridique.

Graziella connaît de son côté l’existence de mon blog très personnel. Je ne cache rien, jamais. Je ne lui ai rien caché. Ce soir je lui offre ce texte en gage de mon amitié (doux euphémisme !) je suis enfermé à cela. Qui sait, ue nuit peut-être ira-t-elle lire ma prose, je le souhaite et qui sait, acceptera-t-elle d'attester pour vous de la véracité de mes propos… 

Qu’importe en réalité ? Je sais que c’est vrai !

                                                                           undefined (petit mot très personnel à Graziella : Merci mon cœur de la joie que tu m’as inconsciemment procurée (encore !). En écrivant ce texte qui t’est dédié j’étais à tes côtés ! J’espère avoir su faire exhaler l’humour et la sensualité qui émanent de ta personne et tant d’autres choses… En frappant mon clavier j’écoutais à tue-tête de la musique et… j’étais HEUREUX !!! je dansais comme un ado devant mon écran !!! Je t’embrasse…)

 

Par CENTAURE - Ecrire un commentaire
Lundi 11 février 1 11 /02 /Fév 05:19
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Je sonne à leur porte… ils tardent à venir m’ouvrir malgré l’insistance de Jacques au téléphone. Quelques heures auparavant, il m’avait demandé de passer chez lui ayant selon ses termes, un truc à me donner… Venant de mon patron, je n’ai pas osé refuser malgré l’heure avancée… mais il m’avait rassuré en ne me donnant rendez-vous qu’après  21 h ayant des dossiers à terminer.

Je reste là donc dans le vent vosgien, ayant bravé le verglas et évité de justesse un chevreuil intrépide. La lumière du perron s’allume. Jacques m’ouvre en souriant et me resserrant la main comme si nous n’avions pas travaillé ensemble toute la journée !! je lui en fais la remarque en blaguant !

J’entre. Il m’invite au salon et me conduit à sa femme qui se repose sur un canapé en undefined velours. Je la salue dignement, n’ayant pas raté la naissance de ses seins dans le V de son gilet en laine fine…  Ah cette femme qui me fait tant fantasmer derrière sa fenêtre lorsque nous prenons notre douche après le boulot mes collègues et moi… Je bredouille quelque âneries d’usage et me demande si la route a été bonne, réprimandant gentiment son mari de m’avoir fait déplacer ce soir par ce temps ! Je la tranquillise… Jacques m’invite à m’asseoir aux côtés de Martine et s’empare de l’unique fauteuil du salon. Le canapé étant étroit je m’efforce avec beaucoup de difficultés à laisser l’espace d’usage. Puis Jacques se relève, direction le bar d’où il sort une bouteille de Cognac et 3 verres… sert tout le monde en me chambrant “ça va réchauffer le pôv’ bûcheron qu’a manqué pendre froid à cause de son salaud de patron !!”. Je rie poliment !

Soudain il se lève en tapant les accoudoirs du fauteuil, pose son verre sur la table basse et annonce qu’il repart terminer un travail… qu’il reviendra très vite.

Me voilà seul avec mes démons (voir article mon fantasme du moment ).

Je me sens un peu mal à l’aise.

Je souris bêtement à ma compagne. Elle doit sentir mon état d’âme et me renvoie un regard amusé… me déstabilisant davantage.

Je choisis unilatéralement d’alterner position appuyée sur mes genoux, verre en main, et adossée façon stupidement cool… C’est pas mieux. “Si vous voulez fumer, n’hésitez pas. Jacques fume comme un sapeur vous le savez et j’enrage assez !”. Sa voix est grave et suave. Je la remercie, lui offre une gitane qu’elle refuse de la main sur mon paquet. Heureuse initiative qui me donne une contenance désuète. Elle ne me connait que peu. Me demande quelques détails sur ma vie avec son mari, l’ambiance, les hommes du groupe… Elle ne savait pas que je connaissais Jacques depuis si longtemps.

Notre conversation anodine est ponctuée par les crépitements du feu dans la cheminée à l’âtre dont j’avais vanté le style lorrain. Cette atmosphère agréable et bourgeoise est soulignée par la musique du groupe ERA, qui lui confère un je ne sais quoi de mystique et de troublant. Sons pseudo grégoriens qui jurent avec les pensées profanes qui laminent mon esprit.

Le maître de céans réinvestit les lieux. S’impose dans son fauteuil et ne dit mot. Un silence s’installe. Lourd. Pesant.

Il me regarde dans les yeux. Mon sang me semble s’être figé… Il regarde longuement sa femme…

La musique remplit mes oreilles.

Se relève brusquement, bouscule dans son élan la table manquant renverser le chandelier à 5 branches portant bougies rouges. S’assied sur le rebord et boit cul-sec.

Il prend ma main et l’impose sur la cuisse de Martine. Je tente de résister mais undefined l’homme est aussi fort que mon envie de me laisser faire. Je regarde Martine. Ses yeux sont mi-clos. J’en suis plus que troublé. Je cherche en ceux de Jacques l’approbation qu’il me faut. ”Va -me dit il - c’est un plan commun. On sait ton amour du sexe et des parties fines et je connais ton attirance pour elle.. Ca me fait bander ça ! …” Je ne sais que répondre et appose ma main plus fermement sur son bas noir.

Jacques écarte la fente de la jupe et expose le bas jumeau légèrement descendu. Le noir intense de l’élastique brodé contraste avec la blancheur de la peau. Mes doigts caressent le soyeux du textile puis voyagent sur la cuisse, puis envahit l’autre. Jacques ne quitte pas la scène des yeux. Assis droit comme un chêne, tête inclinée et en arrière, se caressant le torse à travers le T-shirt. Je remarque sa pomme d’Adam saillir et travailler, j’imagine ses pensées… Intelligemment il réduit insensiblement l’intensité lumineuse par le régulateur manuel de la lampe.

La tranche de ma main glisse entre les deux cuisses qu’un délicat et undefined volontaire entrebâillement vient couronner. Je m’empresse d’y répondre en remontant lentement vers une dentelle noire, élégamment ajourée laissant deviner une toison finement ciselée. Mes mains d’homme manuel, râpeuses, caleuses, font crisser les bas... J’en suis presque gêné. Cependant ces bruits m’excitaient... et à vrai dire… je me fous royalement bien de l’intégrité du nylon…

Frôlant le point culminant de mes attentes, je jette un regard furtif sur le visage de Martine qui affiche une sérénité complaisante et une lèvre pincée de ses dents. Je glisse mon regard vers celui complice de Jacques. Mes doigts me signifient leur victoire par une moiteur aimable qui décèlent…

Sobrement, notre citadelle ouvre ses portes, Martine relève sa jupe… J’approche mon visage de la dentelle incendiaire. Là Jacques m’arrête de son bras et me devance autoritairement. Il relève les jambes de son épouse sur ses larges épaules et commence un lent effeuillage… La culotte cède par l’approbation de sa maitresse. Il s’ensuit un léchage goulu et bruyant orchestré par les gémissements de Martine, ce qui n’a pas manqué d’accentuer mon excitation. Je le regardais faire, cet homme d’ordinaire si réservé si distant avec nous. J’en étais presque ému.

Je décide d’ôter ma chemise. Torse nu je ne veux que sentir les mains de cette femme si longtemps désirée sur moi. J’en réquisitionne ardemment une et la presse sur mon poitrail. Ses doigts se crispent et me saisissent. Je sens mon sexe battre trop fort la undefined chamade dans mon jeans devenu trop étroit. Ma main s’empare de ses seins puis les libère du bonnet d’un soutien-gorge balconnet. Un papillon tatoué s’envole et me ravit… Les deux tétons semblent fêter leur libérateur en hissant leur plaisir… Mes lèvres saluent leur audace et ma langue encercle leur ardeur. Enthousiaste, j’écrase ces dômes de ma bouche que j’ouvre pour les posséder. Les mains de ma patronne griffent mon dos tandis que son corps vibre des assauts cumulés de son mari et de son amant d’un soir.

Je cherche à l’embrasser… Elle détourne le visage et j’entends le maitre de cérémonie vociférer un NON ferme que je respecte à la lettre. Je me contente de rouler une pelle à la perle noire en pendentif qui orne le cou de ma victime.

A son tour Jacques en profite pour enlever son T-shirt. D’un geste viril il le retourne, le jette loin et laisse exploser sa force. Lui que j’ai vu tant de fois nu, me parait soudain vraiment très beau, orgueilleux comme un chevalier teuton undefined à l’assaut. Sa musculature imposante est magnifiquement amplifiée par la lumière tamisée. Les poils de sa poitrine luisent par les gouttes de sueur… Nos yeux se croisent. Heureux.

Le rempart de son soutien-gorge cédant, voici Martine nue, offerte, livrée à ces deux hommes. Sa respiration est de plus en plus saccadée, appelant l’irrespect. Je me lève et me mets nu. Me regardant faire tout en savourant sa femme, Jacques émet un râle d’encouragement. Je retourne à mes envies le sexe en main, plus offensant que jamais. A son tour mon ami se dévêt totalement. Tous trois nus et confiants, les ébats s’intensifient. Jacques saisit une des bougies du candélabre proche. Il la lèche voluptueusement et la glisse le long de la énigmatique fente. Je le regarde s’exciter tout en me masturbant face à eux, à genou sur le divan.

M’imitant, il astique violemment son membre surchauffé.

Il me regarde vicieusement, enfonce graduellement la masse dans l’enfer bouillant de sa femme…elle, laisse échapper un soupir lascif. Notre branle s’en accélère…

Insensiblement nos corps glissent du canapé et terminent leur coulée vers le sol. Le parquet de chêne recouvert d’un tapis devient le théâtre de nos élans. Les coussins suivent pour notre confort.

En installant un sous les hanches de Martine, Jacques soulève la croupe et la prend furieusement. L’aigle qu’il a tatoué semblent battre des ailes tant la masse de ses pectoraux se crispe et se relâche dans ses mouvements. Je m’approche du spectacle et matte sauvagement, couché sur le dos. Ma jambe posée sur la poitrine de Martine, lui offre mon intimité dont elle s’empare frénétiquement. Sa main empoigne ma queue qu’elle secoue à la cadence diabolique des coups de buttoir de son mari. Mon bassin renforce son ardeur… je ne peux quitter la vue du sexe hyper excité de mon ami laminer si puissamment les entrailles de sa belle. Je rajoute à ce plaisir le titillement néanmoins insisté sur un clitoris bien présent… mon doigt s’amusant au rythme de la musique qui joue en boucle…

Jacques soudain élabore un geste qui m’étonne. Sa main balaie mon torse.

Surpris mais non contrarié je me laisse faire.

Je tourne ma tete vers mon camarade de sens. Il me sourit.

Il se retire du vagin et m’offre sa bite qu’il tend de ses doigts. Je lui fais comprendre que je ne veux pas m’adonner à son fantasme mais j’enferme son opulence dans une main forte et soulage son envie. Son râle devient plus fort. Je lui concède encore quelques va et vient, ne voulant pas provoquer si vite la chute de nos étreintes. Quant à elle, Martine passe savamment sa langue sur mon gland. Sa bouche enferme ma virilité et sa langue me torture.

Surexcité, je me relève et chevauche Martine. Les cuisses bien écartées sur sa poitrine, je lui passe la masse ballottant de mes couilles sur son entre-seins. Mon sexe en main je lui impose une vue indécente à souhait… mes mouvements de bassin et poignets accentuent ce frottement si jouissif… Je me retiens d’être ordurier…

Jacques tire violemment à lui son épouse pour la pénétrer de plus belle. Sa face se trouve à présent sous moi et je bénit l’initiative. La bouche dominée fait sentir une langue experte sur mes poils et des lèvres en tenailles. Jacques a une main posée sur mon épaule et je sens en écho ses mouvements conquérants. J’entends derrière mon dos ces bruits de gorge que je connais si bien pour proférer moi-même si souvent… Cela m’excite terriblement. Sa femme sous moi, mon patron derrière moi...

Jacques me pousse le dos en avant. J’en manque tomber et me retiens d’un bras sur le sol. Il m’attrape les bourses sans mot dire. Pas désagréable cependant. Il me passe autoritairement le pouce sur l’entre fesses que je resserre. Il comprend très vite, il n’insiste pas.

Je me relève et me mets face à lui, à genoux. Je lui concède un plaisir… Nous nous caressons… torse, pectoraux, ventre puis chacun le sexe que l’on branle généreusement sous le regard excité de notre partenaire qui à son tour s’exécute solitairement. La scène est intense… infernale. 3 singes en statuette de jade posée sur la table de salon me promettent de ne rien entendre, ne rien dire, ne rien voir..

Assez vite Martine fait divergence et se positionne à 4 pattes, cambrée au maximum, à l’appel… Cessant nos égarements nous nous soumettons en alternance aux volontés féminines. Qui derrière qui frontal… 
La jouissance monte inéluctablement… et c’est naturellement le Maître qui ensemence avec force râles la croupe tandis que j’épands presque immédiatement mon foutre sur le plancher de chêne.

La bouteille de Cognac refait son entrée dans l’univers… terrestre que nous rejoignons peu à peu.

......

Certes ceci n’est qu’un fantasme… une histoire inventée hélas.

Inventée, certes mais l’imaginaire puise toujours dans le vécu…
Par CENTAURE - Ecrire un commentaire
Samedi 9 février 6 09 /02 /Fév 02:15
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Vous le savez peut-être si vous suivez mes articles… je suis pompier volontaire depuis quelques années ! (voir article "POMPIER"). Oh pas de sauvetages héroïques non, juste quelques incendies de broussailles et autres nids de guêpes dominés ! Pas de quoi faire s’emballer le cœur d’une midinette ! HELAAAAS !
Le week-end dernier je me suis rendu à la convocation annuelle des instances supérieures du SDIS départemental au contrôle physique de chaque pompier. C’est obligatoire et très utile… surtout à 49 ans ! Test de Cooper, pour qui connaît et quelques exercices chronométrés bien structurés et assez « militaires » (marche sur poutre, rampé sous filet, lancement de cordes dans un cadre en hauteur, traction d’un charriot lesté et autres délicatesses !!)
Avec mes collègues me voilà donc parti de bon matin en direction du stade municipal de la ville désignée, pas plus enchanté que cela d’aller faire le pitre au milieu de jeunes bien trop vaillants ! BREF pas le choix !
Froideur hivernale au rendez-vous comme à chaque année, ambiance du même acabit parmi les quelques 25 individus réunis (dont quelques 4 jolies jeunes filles soit dit en passant !), venus de 3 sections du coin…
On nous avait stipulé de venir en habit de combat du feu (sans casque tout de même !) certainement en vue d’une revue des tenues et d’amener également notre tenue de sport. Bienveillance évidente vu l’objectif !!
Loooongue attente statique dans ce frais matin de fin janvier, sans avoir d’autre qu’à bouger sur place ce qui a le don de m’agacer sévère !!!
Je rêvais d’un bon café !
Enfin arrive le capitaine-Médecin… Rapidité de mouvements dignes de la pure stature administrative... Salutations sommaires… puis l’officier daigne, enfin, nous ouvrir les portes des vestiaires ! On s’y engouffre en grommelant…
undefined Il nous y explique ce que l’ont sait déjà et nous demande de nous tenir en tenue de sport : short et T-shirt. Jogging non désiré ! Grrr… Seules les femmes ont le privilège de pouvoir l’endosser (sic) et passent au vestiaire voisin pour se préparer.
Il reste là à nous entretenir sur le déroulement des activités. Chacun se déshabille pour enfiler la tenue adéquate. Je note quelques signes d’impatience parmi mes collègues… le mieux aurait été de s’y mettre dès chez nous ! Mais bon !! On se connaît tous déjà bien pour avoir manœuvré ensemble plusieurs fois mais je remarque que les jeunes recrues ont un peu de mal à se dévêtir et sont un peu gênés de notre désinvolture. Le capitaine en profite pour faire l’appel dans le groupe et à nous saluer plus personnellement qu’auparavant ! Quant à moi, et undefined je ne suis pas le seul, je suis contraint à me mettre nu puisque je ne porte jamais de sous-vêtements comme je vous l’ai déjà dit. Je me fais chambrer comme à l’accoutumée !
Puis on passe aux différentes épreuves dont je vous fais grâce et dans lesquelles je n’ai pas trop brillé mais je n’étais pas cependant parmi les derniers !! Mon honneur a été sauf !
Cette grande page de mon histoire terminée je retourne comme les autres aux vestiaires prendre la douche d’usage, bienvenue on s’en doute après s’être bien refroidis…toujours suivis par le CM.
J’avais déjà entendu quelques rumeurs durant les épreuves, « c’est le Capitaine X... il paraît que... »… Suspiscions qui se sont confirmées à ce moment.
Les douches étant communes, le CM s’est offert le plaisir solitaire de nous mater nous lavant. Certes quelques grassouillets s’étaient infiltrés parmi nous, mais je dois avouer undefined que le corps de nombre de mes collègues est assez flatteur pour la gente masculine. Le spectacle n’a eu pourtant que peu à référer à un show de Chippendales mais il a du lui plaire… Certains se tournaient pour respecter leur pudeur, d’autres moins et quelques-uns pas du tout ! A quoi bon en vérité ! Nous sommes tous bâtis sur le même modèle, juste quelques modifications pilaires ou undefined musculaires, pour ne pas notifier les graisseuses ou plus morphologiques !
J’observais durant ce temps du coin de l’œil ses regards furtifs mais répétés sur la physionomie générale et intime de tous mes camarades. Je me suis amusé de cet instant, me prêtant volontiers à son petit jeu sans conséquences, moi l’homme sans pudeur que vous connaissez. Lavage prolongé de mes cheveux, séchage complet et parfait de mon corps.
undefined Pour justifier, je pense, sa présence parmi ces mecs nus, il avait élaboré un stratagème subtil de dossiers qu’il portait en main et appelait successivement chaque homme à haute voix pour quelque raison subalterne (adresse, section, âge, grade…) Méthode qui m’a replongé quelques 30 années avant, lors de mon conseil de révision avant l’Armée, où pour la première fois de ma vie j’avais du me doucher en commun face à un supérieur habillé et… mateur !!
C’est si peu de chose de faire plaisir !!!!!
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