Lundi 11 février 1 11 /02 /Fév 05:19
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Je sonne à leur porte… ils tardent à venir m’ouvrir malgré l’insistance de Jacques au téléphone. Quelques heures auparavant, il m’avait demandé de passer chez lui ayant selon ses termes, un truc à me donner… Venant de mon patron, je n’ai pas osé refuser malgré l’heure avancée… mais il m’avait rassuré en ne me donnant rendez-vous qu’après  21 h ayant des dossiers à terminer.

Je reste là donc dans le vent vosgien, ayant bravé le verglas et évité de justesse un chevreuil intrépide. La lumière du perron s’allume. Jacques m’ouvre en souriant et me resserrant la main comme si nous n’avions pas travaillé ensemble toute la journée !! je lui en fais la remarque en blaguant !

J’entre. Il m’invite au salon et me conduit à sa femme qui se repose sur un canapé en undefined velours. Je la salue dignement, n’ayant pas raté la naissance de ses seins dans le V de son gilet en laine fine…  Ah cette femme qui me fait tant fantasmer derrière sa fenêtre lorsque nous prenons notre douche après le boulot mes collègues et moi… Je bredouille quelque âneries d’usage et me demande si la route a été bonne, réprimandant gentiment son mari de m’avoir fait déplacer ce soir par ce temps ! Je la tranquillise… Jacques m’invite à m’asseoir aux côtés de Martine et s’empare de l’unique fauteuil du salon. Le canapé étant étroit je m’efforce avec beaucoup de difficultés à laisser l’espace d’usage. Puis Jacques se relève, direction le bar d’où il sort une bouteille de Cognac et 3 verres… sert tout le monde en me chambrant “ça va réchauffer le pôv’ bûcheron qu’a manqué pendre froid à cause de son salaud de patron !!”. Je rie poliment !

Soudain il se lève en tapant les accoudoirs du fauteuil, pose son verre sur la table basse et annonce qu’il repart terminer un travail… qu’il reviendra très vite.

Me voilà seul avec mes démons (voir article mon fantasme du moment ).

Je me sens un peu mal à l’aise.

Je souris bêtement à ma compagne. Elle doit sentir mon état d’âme et me renvoie un regard amusé… me déstabilisant davantage.

Je choisis unilatéralement d’alterner position appuyée sur mes genoux, verre en main, et adossée façon stupidement cool… C’est pas mieux. “Si vous voulez fumer, n’hésitez pas. Jacques fume comme un sapeur vous le savez et j’enrage assez !”. Sa voix est grave et suave. Je la remercie, lui offre une gitane qu’elle refuse de la main sur mon paquet. Heureuse initiative qui me donne une contenance désuète. Elle ne me connait que peu. Me demande quelques détails sur ma vie avec son mari, l’ambiance, les hommes du groupe… Elle ne savait pas que je connaissais Jacques depuis si longtemps.

Notre conversation anodine est ponctuée par les crépitements du feu dans la cheminée à l’âtre dont j’avais vanté le style lorrain. Cette atmosphère agréable et bourgeoise est soulignée par la musique du groupe ERA, qui lui confère un je ne sais quoi de mystique et de troublant. Sons pseudo grégoriens qui jurent avec les pensées profanes qui laminent mon esprit.

Le maître de céans réinvestit les lieux. S’impose dans son fauteuil et ne dit mot. Un silence s’installe. Lourd. Pesant.

Il me regarde dans les yeux. Mon sang me semble s’être figé… Il regarde longuement sa femme…

La musique remplit mes oreilles.

Se relève brusquement, bouscule dans son élan la table manquant renverser le chandelier à 5 branches portant bougies rouges. S’assied sur le rebord et boit cul-sec.

Il prend ma main et l’impose sur la cuisse de Martine. Je tente de résister mais undefined l’homme est aussi fort que mon envie de me laisser faire. Je regarde Martine. Ses yeux sont mi-clos. J’en suis plus que troublé. Je cherche en ceux de Jacques l’approbation qu’il me faut. ”Va -me dit il - c’est un plan commun. On sait ton amour du sexe et des parties fines et je connais ton attirance pour elle.. Ca me fait bander ça ! …” Je ne sais que répondre et appose ma main plus fermement sur son bas noir.

Jacques écarte la fente de la jupe et expose le bas jumeau légèrement descendu. Le noir intense de l’élastique brodé contraste avec la blancheur de la peau. Mes doigts caressent le soyeux du textile puis voyagent sur la cuisse, puis envahit l’autre. Jacques ne quitte pas la scène des yeux. Assis droit comme un chêne, tête inclinée et en arrière, se caressant le torse à travers le T-shirt. Je remarque sa pomme d’Adam saillir et travailler, j’imagine ses pensées… Intelligemment il réduit insensiblement l’intensité lumineuse par le régulateur manuel de la lampe.

La tranche de ma main glisse entre les deux cuisses qu’un délicat et undefined volontaire entrebâillement vient couronner. Je m’empresse d’y répondre en remontant lentement vers une dentelle noire, élégamment ajourée laissant deviner une toison finement ciselée. Mes mains d’homme manuel, râpeuses, caleuses, font crisser les bas... J’en suis presque gêné. Cependant ces bruits m’excitaient... et à vrai dire… je me fous royalement bien de l’intégrité du nylon…

Frôlant le point culminant de mes attentes, je jette un regard furtif sur le visage de Martine qui affiche une sérénité complaisante et une lèvre pincée de ses dents. Je glisse mon regard vers celui complice de Jacques. Mes doigts me signifient leur victoire par une moiteur aimable qui décèlent…

Sobrement, notre citadelle ouvre ses portes, Martine relève sa jupe… J’approche mon visage de la dentelle incendiaire. Là Jacques m’arrête de son bras et me devance autoritairement. Il relève les jambes de son épouse sur ses larges épaules et commence un lent effeuillage… La culotte cède par l’approbation de sa maitresse. Il s’ensuit un léchage goulu et bruyant orchestré par les gémissements de Martine, ce qui n’a pas manqué d’accentuer mon excitation. Je le regardais faire, cet homme d’ordinaire si réservé si distant avec nous. J’en étais presque ému.

Je décide d’ôter ma chemise. Torse nu je ne veux que sentir les mains de cette femme si longtemps désirée sur moi. J’en réquisitionne ardemment une et la presse sur mon poitrail. Ses doigts se crispent et me saisissent. Je sens mon sexe battre trop fort la undefined chamade dans mon jeans devenu trop étroit. Ma main s’empare de ses seins puis les libère du bonnet d’un soutien-gorge balconnet. Un papillon tatoué s’envole et me ravit… Les deux tétons semblent fêter leur libérateur en hissant leur plaisir… Mes lèvres saluent leur audace et ma langue encercle leur ardeur. Enthousiaste, j’écrase ces dômes de ma bouche que j’ouvre pour les posséder. Les mains de ma patronne griffent mon dos tandis que son corps vibre des assauts cumulés de son mari et de son amant d’un soir.

Je cherche à l’embrasser… Elle détourne le visage et j’entends le maitre de cérémonie vociférer un NON ferme que je respecte à la lettre. Je me contente de rouler une pelle à la perle noire en pendentif qui orne le cou de ma victime.

A son tour Jacques en profite pour enlever son T-shirt. D’un geste viril il le retourne, le jette loin et laisse exploser sa force. Lui que j’ai vu tant de fois nu, me parait soudain vraiment très beau, orgueilleux comme un chevalier teuton undefined à l’assaut. Sa musculature imposante est magnifiquement amplifiée par la lumière tamisée. Les poils de sa poitrine luisent par les gouttes de sueur… Nos yeux se croisent. Heureux.

Le rempart de son soutien-gorge cédant, voici Martine nue, offerte, livrée à ces deux hommes. Sa respiration est de plus en plus saccadée, appelant l’irrespect. Je me lève et me mets nu. Me regardant faire tout en savourant sa femme, Jacques émet un râle d’encouragement. Je retourne à mes envies le sexe en main, plus offensant que jamais. A son tour mon ami se dévêt totalement. Tous trois nus et confiants, les ébats s’intensifient. Jacques saisit une des bougies du candélabre proche. Il la lèche voluptueusement et la glisse le long de la énigmatique fente. Je le regarde s’exciter tout en me masturbant face à eux, à genou sur le divan.

M’imitant, il astique violemment son membre surchauffé.

Il me regarde vicieusement, enfonce graduellement la masse dans l’enfer bouillant de sa femme…elle, laisse échapper un soupir lascif. Notre branle s’en accélère…

Insensiblement nos corps glissent du canapé et terminent leur coulée vers le sol. Le parquet de chêne recouvert d’un tapis devient le théâtre de nos élans. Les coussins suivent pour notre confort.

En installant un sous les hanches de Martine, Jacques soulève la croupe et la prend furieusement. L’aigle qu’il a tatoué semblent battre des ailes tant la masse de ses pectoraux se crispe et se relâche dans ses mouvements. Je m’approche du spectacle et matte sauvagement, couché sur le dos. Ma jambe posée sur la poitrine de Martine, lui offre mon intimité dont elle s’empare frénétiquement. Sa main empoigne ma queue qu’elle secoue à la cadence diabolique des coups de buttoir de son mari. Mon bassin renforce son ardeur… je ne peux quitter la vue du sexe hyper excité de mon ami laminer si puissamment les entrailles de sa belle. Je rajoute à ce plaisir le titillement néanmoins insisté sur un clitoris bien présent… mon doigt s’amusant au rythme de la musique qui joue en boucle…

Jacques soudain élabore un geste qui m’étonne. Sa main balaie mon torse.

Surpris mais non contrarié je me laisse faire.

Je tourne ma tete vers mon camarade de sens. Il me sourit.

Il se retire du vagin et m’offre sa bite qu’il tend de ses doigts. Je lui fais comprendre que je ne veux pas m’adonner à son fantasme mais j’enferme son opulence dans une main forte et soulage son envie. Son râle devient plus fort. Je lui concède encore quelques va et vient, ne voulant pas provoquer si vite la chute de nos étreintes. Quant à elle, Martine passe savamment sa langue sur mon gland. Sa bouche enferme ma virilité et sa langue me torture.

Surexcité, je me relève et chevauche Martine. Les cuisses bien écartées sur sa poitrine, je lui passe la masse ballottant de mes couilles sur son entre-seins. Mon sexe en main je lui impose une vue indécente à souhait… mes mouvements de bassin et poignets accentuent ce frottement si jouissif… Je me retiens d’être ordurier…

Jacques tire violemment à lui son épouse pour la pénétrer de plus belle. Sa face se trouve à présent sous moi et je bénit l’initiative. La bouche dominée fait sentir une langue experte sur mes poils et des lèvres en tenailles. Jacques a une main posée sur mon épaule et je sens en écho ses mouvements conquérants. J’entends derrière mon dos ces bruits de gorge que je connais si bien pour proférer moi-même si souvent… Cela m’excite terriblement. Sa femme sous moi, mon patron derrière moi...

Jacques me pousse le dos en avant. J’en manque tomber et me retiens d’un bras sur le sol. Il m’attrape les bourses sans mot dire. Pas désagréable cependant. Il me passe autoritairement le pouce sur l’entre fesses que je resserre. Il comprend très vite, il n’insiste pas.

Je me relève et me mets face à lui, à genoux. Je lui concède un plaisir… Nous nous caressons… torse, pectoraux, ventre puis chacun le sexe que l’on branle généreusement sous le regard excité de notre partenaire qui à son tour s’exécute solitairement. La scène est intense… infernale. 3 singes en statuette de jade posée sur la table de salon me promettent de ne rien entendre, ne rien dire, ne rien voir..

Assez vite Martine fait divergence et se positionne à 4 pattes, cambrée au maximum, à l’appel… Cessant nos égarements nous nous soumettons en alternance aux volontés féminines. Qui derrière qui frontal… 
La jouissance monte inéluctablement… et c’est naturellement le Maître qui ensemence avec force râles la croupe tandis que j’épands presque immédiatement mon foutre sur le plancher de chêne.

La bouteille de Cognac refait son entrée dans l’univers… terrestre que nous rejoignons peu à peu.

......

Certes ceci n’est qu’un fantasme… une histoire inventée hélas.

Inventée, certes mais l’imaginaire puise toujours dans le vécu…
Par CENTAURE - Publié dans : MES CONFIDENCES TRES PERSO...
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