Ce que je vais vous raconter à présent date déjà de quelques années. C'était à l'époque regrettée où je faisais partie d'un petit club de football américain. Souvenirs, souvenirs…
Un dimanche où nous étions allés jouer contre une équipe alsacienne, nous étions restés après le match sur place pour la fameuse troisième mi-temps !!
Les deux staffs qui se connaissaient bien pour avoir joué à plusieurs reprises ensemble étaient réunis dans le Buffalo-grill local.
La soirée s'était passée bien virilement à boire et chanter les chansons habituelles et peu académiques en de telles circonstances. La salle était à l'écart de la clientèle classique comme souvent dans cette catégorie de restaurants.

Nous ne buvions pas que de l'eau minérale mais on s'en foutait bien, ne serait-ce que pour noyer notre défaite, car nous rentrions en autocar !!
Ce type de réunion sportive attire toujours la convoitise féminine. Nous avions notre petit lot de groupies, toutes plus ou moins apparentées à nous.

Parmi elles se trouvait Véronique, jeune fille de 24 ans assez forte mais bien désirable. Elle était reconnue de tous comme étant assez frivole…
Ne se faisant pas prier pour participer à nos javas, elle était donc présente parmi d'autres au sein même de notre ramassis de mecs !
Je la connaissais bien pour avoir eu une liaison furtive avec elle et j'avais remarqué qu'elle avait jeté son dévolu sur l'homme qui était assis à côté de moi à table… Un joueur sympathique dont je ne savais pas grand-chose !

 Lui aussi l'avait bien vu et s'en amusait tout autant que moi. L'alcool aidant, les idées salaces ont ressurgi !
Véronique était une proie facile...
Un peu plus tard dans la soirée je lui ai proposé de me rejoindre dehors sur le parking... ce qu'elle accepta sans trop de peine grâce sans doute aux bisous que je lui donnais...
Vous aurez deviné que c'était un stratagème érotique, m'étant mis de connivence avec mon pote d'un soir.

Nous étions copieusement en train de nous rouler pelles quand le mec est sorti de la salle, la cigarette aux doigts, désireux de changer d'air. Nous l'avions vu ! Nous n'en étions pas troublés. Pour ma part j'ai alors entamé une efficace séance de pelotage qu'elle rendait par des mains agiles. Je bandais bien fort, sans doute l'idée du complot !

L'air innocent je blague avec lui, l'accusant de voyeurisme !! Véro ne disait rien ! Il en faut moins pour accélérer nos ardeurs.

Evidemment il nous a rejoints.

Je présente le type à Véronique à qui il fait la bise traditionnelle et ne part pas…

Mutisme éloquent de Véro.

Je les enjoints à mieux s'embrasser ce qui se fait dans la foulée.

La fille passe alors de bouche en bouche entre nous deux. Nous la pelotons de façon énergique et frénétique…

Ses seins étaient fermes, sont corps généreux… tout autant que sa bouche qui nous le prouva vite.

Bien excité, j'ouvre ma braguette et lui insère la main. Elle sort ma bite et la branle… Mon pote quant à lui n'en perd pas une miette et descend ardemment son pantalon et se secoue.

J'incite la fille à me sucer en lui pressant la tête vers le sol. Elle comprend vite la gaillarde !

Et la voilà à me bouffer la queue toute en tenant le sexe du mec…

Notre plan avait réussi…

La vorace passe d'un zob à l'autre avec un appétit qui nous excitait terriblement. Le tout se faisait dans un silence que seuls les bruits de bouche cassaient.

Elle pompait bien, je le savais déjà.

Je lui propose de bouffer nos deux bites… Nous nous rapprochons et nous tenons mutuellement pour être au plus proche de la bouche bien ouverte. Elle essaie mais n'y arrive pas. On la chambre et l'encourage à mieux faire… Rien n'y fait hélas !

Alors adossés sur les portières d'une bagnole, nous savourons ce pompage et le spectacle hyper bandant. La lumière diffuse accentuait l'érotisme démesuré.

Mon pote allait être le premier à cracher. Elle avait demandé de ne pas lui jouir dedans… ce que nous avions critiqué bien sûr mais elle était catégorique.

Elle empoigna sa queue et la branla très fortement. Son gland luisant de plaisir sous les lampadaires du parking. Je vis son jus se propulser violemment et s'écraser sur le goudron dans un râle retenu qui m'excita comme un fou.

Je fis comprendre à Véro que j'allais me vider à mon tour et elle sortit ma bite de sa bouche et la dirigea hors de sa portée de tir. Mon jet fut extraordinairement intense.

Nous avons remercié notre gourmande par des baisers tout en nous rhabillant au plus vite.

A notre tour de nous amuser d'elle…

Mais ce récit sera pour une autre fois.