Vous connaissez à présent mon camarade François (lire l'article...)
Lors d'une
conversation ensemble nous avons entamé un sujet qui s'est révélé être pour lui un sujet tabou : le plaisir que procure la zone anale chez nous les
hommes...
Etant très libéré de ce côté (et je pense en
avoir suffisamment donné la preuve soit en vidéos soit en photographies) c'est en grande liberté que j'ai répondu à toutes ses questions
précises, étonnées, quelque peu choquées et souvent bien intéressées !!
Toute cette curiosité, que je conçois aisément, est née
bien sûr d'un capital de recherches de sensations nouvelles chez lui malgré sa répugnance, s'étant toujours obstinément refusé à assumer cette zone pourtant si érogène !
Vous Mesdames, chez qui la chose ne revêt que peu le voile de la culpabilité, elle l'est toute autrement pour
nous..., le thème peut prêter à vous faire sourire !
...
2000 ans de Judéo-christianisme ne s'effacent pas si vite !
...
Je ne vous dirai pas la teneur de nos propos car ses réactions lui appartiennent. Je ne vous confierai pas non plus
sa décision ! Pour ce soir mes propos ne s'y attèlent pas mais cette phase de vie de François m'a plongé quelques années en arrière et tout un pan m'est réapparu d'un coup
!
Notre débat m'a fait me rappeler ma propre initiation à ces plaisirs discrets. C'est ce dont je vais vous entretenir
si cela vous intéresse... et si mon expérience personnelle peut éclairer quelque lecteur ou apporter une méthode d'approche, je n'en serais que plus ravi
!
…
J'avais pour maitresse en ce temps là Anne-Marie, une
femme issue de la petite bourgeoisie locale. Mariée à un commerçant, avec lequel elle affirmait s'ennuyer ferme, elle aimait ouvertement le sexe ce qu'elle me prouvait à chaque fois et
qui me comblait d'aise et d'orgueil.
Elle adorait les fesses d'hommes comme beaucoup d'entre vous Mesdames ! Elle le clamait sans
vergogne !
J'avais pour ma part remarqué plusieurs fois ses passages sur cette partie de mon anatomie, tant aux
moments de l'amour que ceux allant y venir ou étant passés.
Je dois avouer que cela me surprenait tant et plus car étant encore assez jeune (32 ans) cette aire était par
définition réservée à une autre catégorie d'homme... Je n'en étais pas offusqué mais juste un peu étonné ce à quoi elle répondait par comparaisons à d'autres hommes et par des confidences reçues
d'anciens amants. Quant à moi je resserrais les muscles fessiers à chaque tentative et m'agaçais de son air narquois en retour...
Tant fut qu'un jour elle expliqua son amusement légèrement méprisant à mon égard, avouant me juger en ce domaine un
peu... puceau !
Elle avait lancé là sa stratégie, me parlait comme à un jouvenceau et ce fut pour moi les prémices d'une
aventure personnelle qui n'allait plus s'arrêter...
Quelques temps plus tard, lors d'un de ces après midi d'adultère, je sentais qu'elle voulait mener la danse plus qu'à
son habitude... Ses caresses étaient plus douces, son parfum plus présent, ses yeux plus excitant encore...
Elle avait voulu, m'avait elle dit, profiter de mon comme d'un objet érotique... la femme sait parler à l'homme à qui
elle veut prendre la superbe !
Elle massait mon
corps de ses mains brûlantes et explorait voluptueusement chaque centimètre carré de ma peau... Le résultat était là !
Excité à renverser le lit, elle se refusait à se laisser prendre... ses "NON" exaltaient mon désir de la saillir, exhalaient de luxure…
M'ayant retourné sur le ventre et m'ordonnant de rester ainsi, elle passait sa langue le long de la colonne du milieu du dos au sommet de mon coccyx... présentant à mes yeux une croupe rebondie et pour l'heure interdite. Trop préoccupé de ces talents, naïvement je n'ai pas remarqué ce qu'elle avait retiré de son sac à mains...
Parvenue à mon postérieur comme progresse la mer à la
marée montante, elle posait son dévolu sur mes fesses qu'elle ouvrait joliment et embrassait suavement. Mon sexe en totale explosion simulait un coït léger sur les draps. Sa langue explorait
ma vallée que ses doigts élargissaient sobrement...
Puis une sensation inouïe s'imposa...
Non pas celle déjà savoureuse que vous imaginez, mais celle très novatrice, très singulière pour moi...
Quelque chose de doux
et solide à la fois, une saveur fine et diablement sensuelle...
Je tourne la tête et aperçois Anne-Marie amusant mon
rectum d'une… plume... plume de je ne sais quel oiseau de bonheur.
Son regard croisa le
mien dans une évidente perversité à laquelle je ne demandais désormais qu'à m'abandonner...
Je lâchai définitivement mes muscles sous son
conseil de me laisser aller... et même décidai de favoriser le jeu en cambrant mes reins sous ses désirs.
Elle continua ainsi des secondes qui me parurent une éternité de plaisir.
Lors d'après je sentis une impression d'humidité chaude... Sa voix lubrique me dit qu'elle mouillait mon anus
d'un peu d'eau tiède pour accentuer ce moment étrange... Parfaite réussite... puis un doux souffle venait sécher mes poils, ce délicieux sirocco enflammait mes sens de façon
ravageuse... tout comme ses lèvres qui les pinçaient en alternance...
Alors ses doigts entrèrent dans le jeu... Fins, experts,
aussi légers que la plume mais cependant plus audacieux...
Pressions discrètes,
aller et venues envoûtants... et toujours cette impression de durable humidité que je sus après être du gel...
J'adorais cela...
Je ne pensais à ce moment qu'à mes sensations...
Mon arrière corps était aussi torride que mon bas ventre qui lui ne demandait qu'être soulagé... Le plaisir montait
crescendo et mes idées bouillonnaient...
J'étais en totale confiance...
La deviner comme la voir me chevaucher m'excitait terriblement et accepter ma position soumise me gênait
divinement...
J'aimais cet instant de libre laisser aller, d'abandon et je me surpris à accepter l'indécence de ma posture... C'est
là que je subis l'affront qui allait me plaire tant... Quelque chose de dur, de long me passait entre les fesses... Mes fessiers s'en étaient rétractés... Devant ce regain inattendu de
pudibonderie, elle m'implora de lui faire ce cadeau.
Juste un tube de cigare... rien
d'autre... qu'elle présentait à mon intimité d'homme...
Je rendis assez vite les armes et appris là ma première
douceur anale.
Cet objet oblongue, mécanique, décalé, pervers allait nous propulser dans un univers merveilleusement sensuel,
nouveau pour moi, signe de victoire pour elle...
Passages répétés...
Pression sur LA zone... sans y pénétrer..
Préhension des fesses sur l' "ami"...
Je devais me rendre à l'évidence…
C'était excellent…
Le long jeu érotique auquel elle nous adonna ouvrait en
moi les portes des voluptés anales que je tenais depuis si longtemps fermées...
Je venais d'apprendre une nouvelle zone érogène qui depuis n'a jamais pu
être dissociée du BONHEUR SEXUEL !
(Bien que n'étant pas ce que l'on a coutume de nommer "passif", je reconnais aisément le plaisir rectal. Une prise n'est pas mon trip. Néanmoins, lors d'une
fellation enthousiaste, une phalange peut se voir conviée à la joie du moment !!)
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