Jeudi 18 décembre 4 18 /12 /Déc 20:28
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L'existence de la vie d'un homme de ce XXI° siècle sexuellement mutant,réserve à tous des moments auxquels on ne s'attendrait nullement.
J'en veux pour preuve ce qu'il m'est arrivé de vivre récemment. Je vais vous conter cela avec force détails... Rien n'y est faux. Je vous le garantis, seuls les dialogues sont approximatifs...

Après une soirée resto passée entre différents potes des 2 sexes
, nous avons terminé la soirée chez moi à discuter de tout et bien sûr de rien. Evidemment comme dans toute réunion de copains le sexe y a été abordé et comme nous sommes tous suffisamment libérés et d'âge adulte, couple ou non, tous les thèmes on été visités ! Sans trop de pudeur comme à chaque fois sans trop entrer dans la vie TRES privée en respect de chacun.
J'adore mes potes et surtout ceux-là avec lesquels je me sens vraiment en confiance. De ce fait je leur ai "avoué" l'existence de ce blog sans pour autant leur en donner le nom... Mon impudeur a les limites de mes fréquentations régulières... Ils en ont été étonnés
, voire même amusés, et m'ont demandé quels en étaient mes motivations et de décrire l'excitation que j'en retire... Je me suis livré... à ce que vous comprenez... Bien sûr d'aucuns ont dit vouloir faire leur "enquête" et je gage qu'ils ne trouveront pas de si tôt !!
Forts de cette confidence, certains ont avoué aller visiter eux aussi les blogs à conssonnance érotiques... ce dont je n'ai jamais douté car qui n'y est jamais allé hormis ceux qui ne connaissent pas l'existence de la blogosphère érotique...  

Vers 2 heures du matin ils sont partis et seul est resté un copain après m'avoir demandé si j'allais me coucher. Me sachant "couche plus que tard" il ne risquait pas le refus.
La conversation allait sur les mêmes rails. Entre hommes elle s'est un peu personnalisée et nous avons entamé la voie de la vie strictement personnelle. Il a, le bougre, tenté de me faire dire le nom du blog. NON mais j'ai accepté de lui confier la teneur plus précise de mes articles... 
Sans doute se sentant comme je l'étais enclin à la vérité, il m'a dit être bissexuel masqué et nous avons débattu d'une émission diffusée sur ARTE cette semaine consacrée à cette orientation dite nouvelle. 
Dans le droit fil, je lui raconte ma première véritable pipe effectuée par un homme (cf article "POMPE POUR LA 1ERE FOIS PAR UN MEC" du 11/05/2008 si vous ne l'avez pas encore lu) et pour laquelle j'ai ressenti un plaisir aussi fort que nouveau. Du reste j'ai remarqué que ma narration semblait l'exciter franchement... Il me dit adorer depuis longtemps ce genre de séances entre hommes en alternance avec la vie qu'il mène avec Béatrice sa concubine, sans que cela ne le gêne nullement. Considérant que le plaisir est là où il se trouve et que se priver serait une insulte à ce qui fait son équilibre mental. Il me décrit à son tour quelques pompes mémorables et tout en étant émoustillé moi même, je m'abandonne à plus de détails. Je lui avoue m'être lâché comme vous le savez et en avoir tiré un large plaisir dans cette absence totale de "courtoisie" et dans la sauvagerie de l'acte...
J'en bande dans mon pantalon et un geste de ma part lui éveille les soupçons...
"Tu bandes en y pensant ?
- oui je ne le nie pas !!
- tu as vraiment aimé ça !!! 
- Je te l'ai dit : oui ! Mais garde cela pour toi s'il te plaît... !
-Ne t'inquiete pas, je me suis confié aussi et nous sommes quittes !"
Un assez long et pesant silence s'installe que je brise en lui proposant un autre verre. Il accepte... Silence complice...
"Ca te plairait de le revivre ?" me dit il. 
Je me dis rien.
"Qui ne dit rien consent" déclare-t-il amusé !
"Ca me gênerait !" ai-je répondu "mais c'est vrai que j'ai aimé !...
"Tu sais que moi j'aime sucer et ça m'obligera à me taire par rapports aux potes !! Alors ?.... Laisse toi donc faire !"
Du fauteuil où il était assis il est venu s'asseoir à côté de moi. Mon coeur tapait fort tant de l'obscénité de la situation que de l'espoir de revivre un moment aussi intense...
Il posa sa main sur mon torse puis descendit assez vite à ma braguette et me regarda longuement... tout en caressant gentillement mon sexe encore plus dur.
"Ferme les yeux, laisse toi aller...
-Non s'il te plaît pas les yeux fermés... pas encore... laisse moi me contrôler"

Il rit et je me suis rendu compte de l'absurdité de mes mots ! Mais je ne voulais pas disserter. Il me roula une pelle phénoménale et me dit :
"Je te préviens, ne me laboure pas la gueule comme à l'autre... laisse-moi faire et tu vas jouir autant !"
Il ouvrit ma chemise, caressa et retourna à ma queue. il appuya plus fort me branlant à travers mon jeans. J'aimais... même beaucoup !
Il ouvrit ma ceinture en toile, déboutonna mes boutons de braguette puis ceux de ma chemise que j'ai moi-même enlevée. Durant cela il se mit à quatre pattes devant moi, se mit torse nu et descendit puis enleva mon pantalon... Il rit aussi de l'absence de slip !
Nu face à lui, bite hyper tendue, désireuse, assis 3/4 couché sur ce canapé, jambes écartées pieds au sol, je me livrais à son savoir...
"regarde ce que je vais te faire alors et regarde bien !
- Oui justement j'aime voir ! Vas-y !"

Il empoigna ma queue la branla quelques secondes faisant décalotté mon gland rutilant de mouille et suça en profondeur. J'étais aux anges ! Il libéra ma bite et mon gland détroussé, reluisant à l'extrême de mouille et de salive puis lécha ma fraise de sa langue pointue et décidément experte. Sa langue passait et repassait, tout au long de mon sexe, autour puis autour et encore autour... Il avalait sa salive et y retournait en bon pompeur ! Il alternait pompe et douceur et les bruits qu'il faisait accentuaient mon excitation. Je lui mis la main sur la tête fermement qu'il refusa et dit "Teh teh ! calme ! Doucement". Je restai là, cuisses écartées, main posée sur sa tête lui caressant les cheveux.
Il s'essuya les lèvres sur mes poils de cuisse et reprit sa séance dans ma plus grande extase. Il passait mon gland ultra sensible sur ses joues et les poils de sa barbe matinale le râpaient délicieusement ! Il goba encore puis fit remonter mon prépuce pour le titiller des dents. Douleur fine que cela ! Il tira dessus et joua avec essayant d'y fourrer la langue... Il descendit lelong de ma bite et mordilla peau tendue et corps turgescent...
Ce spectacle m'électrisait ! Cet homme à mes genoux me pompant virilement, véritable connaisseur de ce que recherchent les esprits masculins dans notre plaisir, lui même dépositaire de CES sens et de SES pouvoirs !
Lentement, suavement, parfaitement il alla embrasser mes couilles. J'adore ces moments et un râle plus fort de ma part sembla lui apporter plaisir. Je vis qu'il se branlait et cela me plut.
De ses dents il tira sur ma peau, posa ses lèvres dessus. puis lâcha et me lécha un testicule. Puis le deuxième. Hummm ! De sa main qui était sur mon torse il amena les deux dans sa bouche et je sentais sa langue passer sur ma peau ! Serrant suffisamment il tira.. Il me faisait presque mal ! Mais que c'était bon !
Comme promis je contenais mes instincts... Non sans regrets mais par promesse donnée et respect pour cet homme.
Il lâcha le tout ! Se posa légèrement en arrière et se branla. Je l'ai regardé faire et recuperant ma queue me suis branlé aussi !! FORTEMENT !
"NON ! dit il Attends, laisse moi !
-C'est trop fort !
-Ok !
Je me souviendrai longtemps de ces mots. Il se remit à l'"ouvrage" !
"Si tu veux vas-y lâche !"
- Merci !" 

Il avala ma bite si profondément que j'ai cru éjaculer. Je m'en voulais de devoir arrêter si tôt mon plaisir. Il le ressentit sans doute et stoppa net ses effets. Me rétablissant je donnai l'accord d'un pression de la main sur sa tête. Il rebondit de plus belle. il pompait vite, alternait bruits buccaux et respiration... Il pompait si fort que je glissais vers lui.
Ôtant ma queue de sa bouche il dit :
"Quand tu craches serre ma tignasse !
-OUIII !"

N'y tenant plus je ébloque ma espiration et empoigne ses cheveux et là... oh merveille... au moment où j'allais libérer ma lave il ouvrit la bouche en grand et je vis ma jute jaillir dans ce trou béant, lui tenant ma queue très décalottée, en larges jets puissants atterrissant tant sur sa langue que sur ses lèvres...
Quel pipe !
Il ferma ses lèvres et avala dans un silence monastique...
Rarement une telle intensité érotique ne m'avait été prodiguée. Comme toujours quand la jouissance est très forte je tremblais. Il se leva s'essuya dans ses poils de bras... Nos regards se fuyaient... Il partit vers son verre...
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Marc.. Si tu lis cela... C'est en ta gloire !
Par CENTAURE - Publié dans : MES CONFIDENCES TRES PERSO...
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