AAAAAHHHH cela faisait longtemps, trop longtemps me le disais-je en
m'y adonnant (!) que je n'avais pas ressenti ce plaisir subtil et fort, cette sensation très personnelle de profiter de soi...
L'idée n'était en rien réfléchie, elle est venue comme cela, simplement, sans la chercher, allongé sur le dos dans le noir, dans mon lit, seul, nu au chaud de cette chambre spartiate mais confortable, la main innocemment posée sur mon torse
qui s'est révélée errante et qui est descendue instinctivement vers mon sexe mou...
Je me caressais les poils du torse, ceux que j'avais négligé de raser en cette période hivernale et qui ne me gênent plus à présent dans mon
travail. Ils étaient piquants et cela était assez désagréable ! Je pensais à mon amie qui elle aime passer la langue et ses lèvres sur ma peau douce... Recherchant plus
de délicatesse, je suis descendu vers mon pubis que je conserve plus doux et délibérément fourni. Là la forêt y est plus soyeuse et...
sensuelle... Mes doigts passant à travers ma toison, je prenais un malin plaisir à faire rouler la fibre pileuse en alternant un
léger placage sur ma peau devenue sensible dans l'obscurité.
Dans ce voyage, le bout de mes doigts rencontraient le commencement de la verge qui était laissée de côté dans ce plaisir que je ne voulais pas limiter en
temps. Mais l'attrait à la volupté a été plus forte... La naissance de mon sexe qui allait vite se transformer et se déployer m'obsédait. Ma main s'est mise à l'empoigner, à le caresser d'abord gentiment, décalotant à plusieurs reprises mon gland encore sec... Comme j'aime le
faire, j'ai pris entre deux doigts et ai délicatement secoué mon membre toujours flasque. Le bruit de la masse tapant sur mon bas ventre m'excite assez ! Je
sentais peu à peu une émotion envahir mon esprit grâce à ce petit jeu anodin ! Ma verge commençait à réagir doucement. Son diamètre grossissant, le bruit s'en faisait plus mat et plus enivrant ! Trahissant le calme d'un repos initialement recherché dans ce lit, elle
se mit à durcir et vouloir impérieusement passer au stade supérieur de la délicate frappée !!
Empoignant plus fermement ma verge devenue maintenant bite, je serrais plus fort et aggravais mon excitation en mouvements réguliers, marqués, francs, virils, et exposais mon gland désormais trempé aux frottements sur mes poils... Les
yeux fermés, même dans le noir, les sensations s'amplifiaient à chaque aller et retour, plaisirs exacerbés par mon autre main qui parcourait mon poitrail, explorait chaque saillie de muscle, pinçait goulûment un téton pointé, griffait ma peau... Conjointement je sentais presque mon coeur battre dans cette tige insolente
et dure qui était devenue maîtresse de mes envies et besoins...
Abandonnant pour quelques secondes ma bite turgescente, je m'égarais sur mes couilles que je dotais de caresses bienveillantes comme pour me faire pardonner des prises en paume parfois
puissantes, d'écrasements sauvages, gestes que j'adorais pourtant. Jambes repliées, écartées, je séparais quasi cruellement ensemble puis chaque testicule pour le tirer et le relâcher pour savourer cette
joie particulière de sentir mes attributs... Je bandais fortement et me
félicitais de ce moment. Ma respiration en était profonde... Joies personnelles, joies solitaires au fond de ce lit comme un ado dévoué à une nouvelle découverte... Quel bonheur
indicible de se savoir se branler, de se donner à soi même un intense privilège... Bien connaître ses envies, ressentir à la minute même ce dont on a besoin, de retenir pour prolonger l'instant avant l'extase
libératrice...
Ce bien être, fort de tant d'années de pratique, je
savais le contrôler mais là je ne souhaitais pas lutter... Bien sûr je ne désirais pas jouir trop vite, mais je savais que mon éjaculation allait me
transporter. Mes gestes masturbatoires s'intensifiant, ma queue demandait grâce... Je cessais un instant l'assaut pour mieux
martyriser ma nécessité d'explosion. Je me certifiais là une branlée colossale qui n'allait pas manquer de venir !
Opposant mouvements violents et bruts à quelques repos savants, je transcendais mes pulsions,
je calibrais ma jouissance, je dosais mon plaisir... JE ME BRANLAIS...
La chaleur irradiait
de plus en plus mon ventre et mon esprit... Je savourais la présence de ma queue dans ma main experte, adorais sa dureté, l'imaginais
sous le joug de cette grosse main...
La montée en puissance de mon sperme dans mon corps se faisant trop forte, je presse encore plus ma hampe, bloque l'empoignade à sa base d'un coup sec et autoritaire libérant mon
gland gonflé à bloc, lève le bassin et libère mon jus en saccades sur mon ventre... Ah que c'est bon ! J'en tremble, j'en râle presque... Ne voulant rien perdre de cette combustion j'astique de plus belle pour expulser ma jouissance qui se déverse alors en coulées épaisses dans mes
poils... Je viens de jouir comme rarement !
Je respire calmement savourant l'extase !
Mon corps se relâche. Mes jambes m'abandonnent à présent à se sperme désormais gênant. Comme pour l'effacer, je caresse
de mon jus mon ventre et ce liquide gluant me répugne assez... J'étale cependant dans l'espoir de le voir disparaître et... quelque part le remercie de ce moment en l'intégrant à mon
corps...
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