Lundi 20 juillet 1 20 /07 /Juil 02:29
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La maison à côté de la mienne, distante de près de 10 mètres, avait été vidée à la mort du son propriétaire et transformée en gîte rural depuis quelques années. Des touristes divers y venaient régulièrement sans déranger la quiétude du hameau. Chacun vaque à ses loisirs ou ses obligations sans se soucier vraiment d'autrui.

 

Cet été est arrivée une famille de Belgique, des Wallons de près de Mons, personnes au demeurant fort sympathiques dont les parents se sont révélés très avenants et dont le fils était un être discret et silencieux, souvent occupé à ne recevoir dans leur jardin que les ordres du soleil sur sa peau…

Nous avions bien évidemment des relations de courtoisie dont les dialogues se limitaient souvent à la météo passée ou à venir…

 

Je ne savais pas encore que leur fils allait perturber mon existence l'espace de quelques jours…

 

Plusieurs fois déjà nous avions échangé quelques mots banals par-dessus les clôtures, lui étant à passer du temps libre avec leur chien, moi à travailler dans la rénovation extérieure de ma maison.

Il cherchait à savoir les lieux à visiter intéressants du coin, ce à quoi je répondais en alternant avec mes tâches manuelles.

C'était un jeune homme d'environ 30 ans, au prénom de Julien, professeur de Français en collège, cultivé et réservé. D'aspect frêle mais néanmoins irradiant une aura certaine, il arborait un visage fin et régulier encadré par une chevelure mi longue et ondulée, un sourire délicat, un port de tête élégant qui me faisait penser à un tableau  de la Renaissance Italienne…

J'avais remarqué qu'il tournait souvent le regard vers moi, ce qui me flattait et j'avoue avoir à maintes reprises fait le nécessaire pour attirer son attention…

Lors d'une discussion j'avais surpris qu'il regardait souvent mon anatomie générale. Il me scrutait littéralement. J'étais proche de lui contrairement aux autres fois. Je n'en disais mot et j'attisais sa curiosité à volonté !!

 

Un jour, la météo était très capricieuse, alternant averses et coup de soleil intenses, l'air était lourd et pesant, humide et poisseux. Je travaillais chez moi à l'intérieur, dans ma cuisine, quand on sonna à ma porte.

C'était lui.

Il était vêtu d'un short et d'un maillot et était venu me demander si  je pouvais lui prêter quelques minutes un marteau… Je lui ai trouvé et lui ai proposé de boire quelque chose, ce qu'il accepta sans hésiter.

Je savais ses parents partis et je me doutais des vraies raisons de sa venue…

J'étais moi-même habillé légèrement d'un jean coupé et d'une chemise que j'avais laissée ouverte sur ma poitrine.

Nous avons entamé la discussion sur nos travaux respectifs. Puis voyant mon ordinateur allumé il m'avoua être un accro du Web.

Nous avons bien sûr parlé des sites érotiques, lui ayant déjà entamé ce sujet assez vite !! Il vit ma cam et me regarda en souriant d'un air complice…

Il me dit "vous aussi ?"… Je lui dis la vérité !

Il me demanda si je ne le faisais avec que des femmes.  Je lui avouai que peu m'importait !

Un léger silence s'abattit…

Il me confia le plaisir qu'il recevait à regarder les autres se masturber sur la toile et que cela le faisait fantasmer puissamment.

Je lui demandais s'il aimait les hommes ce à quoi il laissa planer un doute…

Il lança le site auquel il rendait très souvent visite. Un site d'hommes nus.

L'envie me vint de précipiter les choses. Il semblait attiré par moi, j'allais lui donner satisfaction.

Devant une série de photos pornographiques, je me suis lentement rapproché de lui. Provoquant à l'extrême, j'espérais qu'il allait enchaîner. Ma chemise ouverte par-dessus lui, resté assis, posa ma poitrine à quelques centimètres de ses yeux. Il tourna la tête vers mes pecs et regarda longuement. Je ne bougeais  pas bien sûr. Il plaça sa main sur le bureau, je lui ai prise pour la poser sur mon torse. Ses doigts se crispèrent sur ma peau avant de la caresser lentement. Mon sang devait bouillant !

Il descendit le long de mon ventre et frôla ma braguette. J'attendais impatiemment qu'il presse mon sexe mais le pervers n'en fit rien… Il resta là à câliner mon buste… Je n'avais qu'une seule hâte… Qu'il me suce.

J'aimais sa main sur ma poitrine. Je le sentais attiré par ça. Il semblait aimer les hommes plus vieux que lui, virils…

J'ai pris son bras et l'ai lentement dirigé vers mon sexe. Sa main apposée à mon corps faisait comme une longue et lente caresse qui s'arrêta à ma braguette qui déboutonna rapidement. Il fut agréablement étonné de mon absence de slip… "J'aime" me dit-il avant de baiser ma bite déjà bien raidie dans l'attente qu'il avait sortie sans gêne.

Il fit entrer mon gland dans sa bouche et le suça entièrement pendant que sa paume enveloppait mes couilles sur mon jean.

Je décidai de baisser ce pantalon coupé qui m'empêchait de bien lui donner son jouet. Là il empoignât les burnes et d'une avidité qui m'étonna il enfourna ma queue complètement dans sa gorge, tant que son nez se frotta à mon pubis, sentant l'âcreté de mes poils moites de transpiration. Il me gobait généreusement et donnait à mes sensations plus de plaisir encore par ses gémissements et bruits buccaux. Il levait de temps à l'autre le regard vers moi et je lui en ses yeux la joie de pomper …

Il m'excitait le malin !!

"Tu as l'habitude de sucer ?" osai- je lui demander devant la perfection de son travail.

- Je ne le fais pas souvent mais j'aime ca !!"

Fort de cette réponse je pris sa tête entre mes deux mains, fermement, l'ai dirigé vers les endroits qui m'excitent beaucoup. Ainsi il me bouffa littéralement les couilles que j'avais bien pendantes et y suça même les poils. Il erra dans mon entre cuisses que j'avais mis à sa disposition en écartant bien les jambes, tête pressée contre ma peau… Sa langue mouillait mon intimité et je peaufinais ce plaisir par une branle que je m'accordais simultanément !!

L'envie d'aller plus loin me prit.

"Tu as déjà été enculé ? tu aimes ?

-Je ne saurais le dire… Je ne l'ai jamais fait…Non mais j'aimerais…

Je le saisis par le corps et le pencha sur la table de la cuisine. Il se rebiffa une seconde…

"Oh tu es directif, j'adore !!!" me dit-il "mais fais pas trop fort s'il te plait !"

-Attends ! …

Il sortit de sa poche un préservatif qu'il me mit avec une dextérité qui m'a rassuré.

Paré de cet aveu d'acceptation, je lui arrachai purement et simplement du corps son short et son boxer, je le retournai et lui imposa un doigt préalablement mouillé de salive. L'entrée était facile… j'en mis deux.

Il gémit fortement et me demanda de poursuivre…

Il avait un arrière train à damner. Les rondeurs de la jeunesse, la fermeté que seule la cambrure de ses reins accentuait.

J'ouvris ses fesses et cracha sur sa rondelle pour palier à mon manque de gel. Ce lubrifiant naturelle excita mon ami qui m'implora d'y aller doucement. Je passais d'abord ma queue tenue dans une main entre ses fesses et appuyai de plus en plus efficacement à chaque passage. Il affirma aimer mon audace et les hommes qui savent ce qu'ils veulent.

Je ne tardai pas longtemps avant d'un enfoncer mon gland puis ma queue à moitié.

Il cria un peu et je me suis arrêté.

"Ca va ?"  Lui demandai-je

"Continue j'aime !"

Ses mains se crispèrent puis empoignèrent les rebords de la table pour tenir sous l'élan de mes assauts. Sa tête allait de droite à gauche et son souffle était au rythme des coups de reins que je lui donnais virilement. A présent j'étais totalement en lui et nous râlions tous les deux de plaisir. Je sentais l'étroitesse de son intérieur et mes nombreux coups de buttoir promettaient une jouissance impeccable… Mes bras le clouaient, mes mains le plaquaient sur la table. Il était prisonnier de mon envie.

Les mots qui sortaient de ma bouche commentaient ce qu'il subissait et ajoutaient à mon ardeur. Je l'enculais comme un sauvage…

…mais je ne voulais pas jouir en lui.

Je l'ai retourné sur la table et tout en enlevant la capote, je l'ai fait pivoter de façon à avoir sa bouche à ma bite, tête dans le vide…

"OH !" dit-il stupéfait

"Tu vas voir ce qu'est un homme entreprenant puisque tu aimes ca !"

Je lui ouvris la bouche et lui introduisis ma queue entière. Sa gorge déployée et renversée avalait tout. J'adorais l'image et lui semblait apprécier ce qu'il n'avait jamais vécu. Je sentais son souffle nasal sur mes couilles et devinais que ses yeux plongeaient sur mon cul. Je lui assénais de bonnes bourrées… L'idée même de l'impression qu'il ressentait me fit éjaculer dans sa bouche aussi profondément que je le souhaitais. La puissance de mon orgasme me faisait me recroqueviller sur moi et je sentais mes jambes flageoler. Je devinais le flot de sperme envahir sa gorge et j'aimais ça. J'enfonçais plus encore ma queue pour jouir fortement. Un peu de jus s'échappa de ses lèvres quand je me retirai avant qu'il n'avala le tout !!  

J'avais joui intensément. Je ne pouvais pas le laisser ainsi sans lui donner à son tour le plaisir qu'il méritait tant !
Je l'avais remis sur la table allongé. Il paraissait exsangue et à la fois satisfait de ce qu'il venir de subir. Sa queue était devenue molle durant mes coups et je la voyais reposée sur sa cuisse. Je l'ai prise dans ma main et l'ai caressée tendrement. Ma grosse pogne voyageait lourdement sur elle et ses couilles que je sentais bouger dans ma paume. La chaleur de mes gestes a eu raison de sa somnolence…

Très vite ma main fut remplie d'un membre vigoureux et dur qui se laissa branler d'abord gentiment puis plus fort et enfin très fermement. Son gland grenat et trempé de mouille glissait dans ma paume que je tenais volontairement serrée. Je sentais les formes et les reliefs de cette longue bite dressée de jeunesse et d'envie. Les soubresauts significatifs étaient déjà présents...

Son plaisir était silencieux.

Son corps se tortillait légèrement et son bassin exagérait encore mes branlées.

J'encourageais de mots vulgaires son besoin de cracher son bonheur.

Un premier et énorme jet sortit de sa queue que je bloquais en arrière quelques secondes. Le jus atterrit sur son torse en longues trainées blanchâtres qu'il étala de ses mains...

Tout son capital de jouissance donné, il laissa retomber son corps sur la table et soupira longuement…

Le laissant à sa récupération et dans le silence qui reègne après les moments forts, je lui tendis une serviette que j'avais moi-même déjà mouillée de sueur après nos ébats et je le voyais s'éponger langoureusement la poitrine de son foutre encore chaud.

Nos séances ne durèrent pas. Ils devaient partir à la fin de la semaine mais le peu que j'ai vécu m'a laissé une empreinte que je n'oublierai pas…

Par CENTAURE - Publié dans : MES CONFIDENCES TRES PERSO...
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