Nougaro vantait les charmes d'une femme les mains dans la farine... Je n'ai pu m'empêcher d'y penser (et nous en avons plaisanté ensemble !) après ce que je vais vous raconter !
Je travaillais à un petit problème d'électricité dans la cuisine et ma compagne quant à elle faisait la vaisselle ! Loin de son esprit tout envie sensuelle, vous imaginez bien, ce moment est d'un érotisme très limité !
Néanmoins...

J'étais assis à table, derrière elle et je levais de temps en temps les yeux vers elle pour parler de choses banales... Elle portait ses gants de vaisselle et elle frottait hardament une cocotte... Ce geste rapide et saccadé faisait bouger son corps sous son tablier qui recouvrait sa robe légère d'été... Plus précisément ses fesses !!!
L'énergie qu'elle y déployait faisait balancer ses formes... je regardais charmé ce ballet sans rien dire... trouvant cet instant ravissant et l'innocence qui en émanait accentuait mon intérêt !
Mon attention était à présent plus dirigée vers ce spectacle ingénu que sur la technique de mon occupation...
Fatiguée d'avoir tant frotté, elle soupirait et en avait mal aux reins, se reposant sur le rebord de l'évier, un peu posée en avant, exposant plus encore ses formes arrières...
Je me suis levé de ma chaise, l'ai prise dans mes bras pour la réconforter gentiment, lui demandant pourquoi elle ne m'avait pas demandé de la remplacer...
Elle s'est retournée et voulant éviter de ma tacher de mousse avec ses gants, elle releva les mains, ce qui fut un geste d'un érotisme divin qui m'obligea à l'embrasser la serrant contre l'évier.
Ce baiser sans être enlacé me plu à l'infini... comme un baiser volé, une etreinte interdite...
Je pouvais la caresser, la serrer dans mes bras, sentir ses seins contre moi, profiter de son corps comme un amant de "5 à 7" !!
Elle avait gardé ses gants mouillés, restait adossée se retenant à l'évier... Je me suis mis à genoux et ai relevé sa robe... J'ai embrassé voluptueusement la dentelle blanche de sa culotte où je devinais la noirceur de son pubis chaud. Ma langue passait doucement dessus  et les fils tissés en grattaient la pointe... J'aime ça !
Je voyageais le long de son sexe... vite j'ai descendu le sous-vêtement pour en jubiler de sa moiteur et sa profondeur...
Je la savais au dessus de moi, sa tête légèrement en arrière et je captais son envie.
Sa respiration guidait l'intensité de mes actes... Le balancement de son bassin trahissait ses désirs...
Je savourais le moment à pleine bouche...

L'inattendu du rapport nous excitait tous les deux, l'amour à la va-vite a du bon quelques fois.