Parmi les blogs que je préfère est celui de MISS123...
Le corps joyeusement offert à mes yeux de voyeur, le visage toujours riant et l'audace de ses postures m'excitent réellement...
La liberté qui en émane me séduit terriblement, le naturel dont ma blogo-amie fait preuve me transporte.
Aussi, lors d'une série de ses photos avec une autre femme, s'est planté en mon esprit une graine qui a germé dont je veux cueillir la fleur... même  utopiquement... ! 
...
Ayant fébrilement attendu l'heure du rendez-vous chez la Miss, nous franchissons le portail, en cédant le passage à Sandrine qui ne me cache pas une certaine appréhension doublée d'un furieux désir de découvrir des sens inavoués et inconnus jusqu'alors... Elle me connaît, connaît mes vices libertins... Elle scrute mon regard lubrique et sait tout aussi bien la faiblesse de son corps dans les moments privés... Je la sais hésitante, ce qui accroît mon excitation.

Je lui demande de sonner, geste symbolique qu'elle accomplit en me regardant de ses yeux noirs et francs autant qu'anxieux...

La Miss ouvre la porte généreusement...  adroitement vêtue, nous accueillant de ce sourire lumineux qui vous met à l'aise et vous réchauffe... Une étreinte amicale vient couronner la difficile prise de contact !
Un chaleureux salon doté d'un vaste sofa nous conforte et les verres comme les propos variés nous plongent tous dans un confort moral enthousiasmant...
Subtilement, la Miss avait installée Sandrine à coté d'elle sur le canapé... suffisamment loin pour ne pas effaroucher ma douce dont elle je lui avais confié les réticences. Quelques allées et venues de sa part, répétés subtilement, ont favorisé un lent mais très savant rapprochement des corps.
Quant à moi, je demeurais volontairement enfoncé dans mon fauteuil !!
Les mouvements de son corps avaient lentement dévoilé la fausse pudeur de notre hotesse.
Ses seins étaient de plus en plus présents, la taille de sa jupe me faisait, nous faisait deviner une avalanche de courbes appétissantes !
L'habileté avec laquelle la Miss a su dompter ma tigresse m'a littéralement captivé ! Sandrine n'a rien du, ou voulu voir venir et déjà notre amie a un bras au dessus puis posé sur sa nuque... une main sur le genou, le regard envahi...
Ce regard qui m'avait juste auparavant laissé sentir l'abandon et que j'avais perdu dans l'image d'une gorge renversée sur le haut du coussin du canapé. La Miss embrassait les lèvres de ma concubine...
Cette idée m'excitait ardemment... Bien que juste un peu troublé de ce que je m'accordais comme étant mon domaine privilégié.

La suite "rêvée" des évènements se bousculaient dans ma tête de mâle... J'en voulais plus encore...

Bien plus érotiquement que je n'aurais su le faire, une main calme et douce explorait suavement le corsage de Sandrine. Son soutien- gorge noir comprimait harmonieusement paume et peaux accolées.
Les battements de mon sexe érigé à bloc et mon envie furieuse de les rejoindre ne tenaient que par la promesse que j'avais donnée à Sandrine de ne pas la perturber... 
J'ai cru craquer quand à son tour Sandrine pris possession des charmes de sa nouvelle conquête. Hummm ces cheveux emmêlés, ces lèvres exploratrices, ces souffles discrets, ces caresses dociles... les voilà nues ou presque sous mes yeux ébahis, devant mon corps cruellement auto-frustré...
Chacune sachant comment plaire à sa compagne, leurs sens étaient exacerbés. Les peaux transpiraient de langueur, les doigts sillonnaient les courbes et leurs profondeurs dans un ballet diabolique... J'étais comme fasciné, habité et à la fois trahi par cette incursion dans ce que je croyais être à moi, cette toison dont je m'envivrais souvent était à cet instant partagée (malgré l'existence à présent stérile du mari de Sandrine...)

Depuis quelques moments déjà le canapé n'était plus qu'un accessoire à leurs ébats. L'épais tapis avait relayé la tâche avec bonheur.
La Miss à genou au sol, me présentant sa croupe, offrait à ma belle un plaisir buccal dont elle raffole pour lequel Sandrine eut l'audace de me faire ressentir l'intensité. La Miss aussi goûtait à la saveur salée de ce sexe délicat et fort... Les yeux de l'être aimé, mi scrutateurs mi abandonnés ont si bien réussi leur dialogue que j'ai cru éjaculer de joie... Le son de ses doux râles, le rythme de ses soupirs et la danse de son visage m'avaient transporté.
Ne pouvant résister plus avant à mon excitation je me suis accordé de sortir mon sexe et de me caresser... espérant miséricordieusement m'assagir et aussi appelant bêtement à moi leur attention...
...mais rien ne les troubla dans leurs jeux...

La vue de leurs seins lourds, se frôlant, se frottant, se caressant, se pressant, l'image des courbes parfaitement féminines, la moiteur luisante, la sensualité des mouvements étaient purs ravissements machistes.

...Sandrine semblait m'oublier... en j'en étais heureux....

Je me touchais tristement depuis un trop longtemps quand Sandrine vint me rejoindre et gouluement soulagea ma peine jusqu' à la dernière goutte... ce que je ressentis comme un retour à sa nature... un gommage de son expérience saphique...
L'éternité ne dure pas on le sait tous. 

Bref ! La blogosphère est pour nous un vecteur de fantasmes... En parcourant les différents sites je me connais mieux... et ainsi je m'aperçois devenir victime d'envies que je laisse pernicieusement m'envahir... 
Tout en les lisant, quelques fois en compagnie de Sandrine, qui respecte mais ne comprend pas le sens de mes recherches... je suis prisonnier de "rêves" qui ne m'appartiennent pas vraiment...
Sandrine est une femme avec laquelle je m'entends très bien... sur le point principal... Je passe les détails que vous connaissez déjà un peu...
L'amour lui est facile et plaisant, sans gêne ni fausse honte... Cependant, à mon grand dam, l'attrait de Lebos la choque...
Ce n'est pas faute de l'avoir incitée en regardant la beauté des corps féminins enlacés, interrogée sur ses sens, orientée sur la liberté sexuelle dont elle se vante envers moi... l'amour féminin ne la fait définitivement pas transcender...
Je le conçois remarquez, moi même l'idée de me faire posséder par un autre homme me parait impossible...