1976 ! ANNEE DU BAC ! 
Mais pour moi une année de découvertes qui m'ont plus marqué que les logarithmes ou autres discours de Descartes !
J'avais à cette époque une copine de langue dirons nous, pas de cœur, Martine, jolie sans être belle mais qui revêtait une sacrée qualité : peu farouche (dixit les potes d'internat !). Elle acceptait de coucher avec moi de temps à autres quand les allers et venues de nos parents le permettaient...  et avec laquelle je baisais... ne faisais pas l'amour... Soyons francs ! Je ne faisais la plupart du temps que lui fourrer ma langue lors de pelles interminables !
Elle savait pourtant bien y faire, selon mes critères et surtout le peu d'expérience que j'avais ! Elle assurait mes fantasmes d'adolescent et s'adonnait à ces fameux plaisirs dont m'avaient parlé les copains ! (que bien sûr je me disais connaître à fond !)
Puis un après-midi oh merveille... lors d'une séance de révisions (!!!!) nous nous sommes lancés dans les "Sciences Nat" !!
Je t'épargne les détails et sur ce que tout bon ado "boutonneux" peut réussir à faire dans un lit ! Soudain elle me lance un regard que je n'ai pas compris sur le fait... candeur touchante !! Puis tourne langoureusement son corps sur le ventre... La lumière de ce mois de printemps était agréable et m'entraîne dans mes pensées masturbatoires ! Je caresse sa courbe du dos et descends allègrement sur sa chute de rein qu'elle se fait un honneur d'en accentuer la valeur !
J'ose tenter de passer ma main sur le centre de ses fesses... humm elle bouge son derrière à l'inverse de ce que je craignais...
Enhardi je me faufile dans le fente dont tant de potes m'avaient vanté les saveurs... Terrible acceptation de sa part ! 
Mes doigts se détachent et remontent la raie interdite et cependant convoitée.
Elle serre etonnament ses deux dômes !! 
J'y suis... je veux y rester ! 
Je retente en exagérant mon audace ! 
Et là je vois  son visage se retourner vers moi et je déplore son regard inquiet (j'ai toujours cette scène en mémoire tant d'années après !). 
Je lui offre un sourire rassurant et sans doute un peu lubrique auquel elle répond par une mise en place inattendue de ses cheveux bruns sur ses épaules. Son regard s'était fait doux, sensuel et suffisamment confiant pour m'autoriser à poursuivre. 
Je confère à mon majeur la mission de passer en première ligne... Mon corps quant à lui se poste en arrière garde.